« La tension entre l’intérieur et l’extérieur »
Dans son ouvrage « Atmosphères », Peter Zumthor développe le thème de la tension existant entre l’intérieur et l’extérieur. Cette tension qu’il évoque se situe à la rencontre des deux univers qu’il identifie. Le premier, est l’espace qui est défini par l’architecture. C’est l’intérieur. Ensuite, et par opposition, il y a ce qui ne fait pas partie de cet espace inscrit dans l’architecture. C’est l’extérieur.
C’est à partir de cette réflexion que le projet s’est attelé à redéfinir une zone d’entre-deux pour ne plus créer de clivage net entre l’intérieur et l’extérieur. Au contraire, la limite que construit l’architecture s’étire et donne du volume à ce lieu de tension afin de créer autant d’espaces intermédiaires, évoluant graduellement de l’intérieur vers l’extérieur, et vice-versa.
Souligner l’existant
La nature est créatrice d’espaces. Le projet tend à souligner les qualités de ces lieux préalables au projet. L’implantation est choisie pour ses qualités paysagères. La végétation, un cours d’eau, la topographie et les chemins présents, trouvent écho dans les dispositifs architecturaux mis en place. Ainsi, une série d’éléments (murs, cadrages, toitures accessibles) permettent d’offrir des points de vue ciblés sur la nature environnante alors que d’autres permettent au projet de se manifester comme lieu remarquable dans ce contexte (auvents, sols, …). La topographie joue un rôle particulier dans le projet en ce qu’elle permet d’identifier une « partie haute » et une « partie basse » caractérisées par les deux espaces d’accès à l’édifice ; la toiture accessible et l’auvent.
Le rapport à l’échelle humaine
Enfin l’architecture est pensée en fonction des dimensions humaines. Chaque élément qui s’y trouve peut-être approprié de différentes manières afin de répondre à des besoins polyvalents. Le projet se présente finalement comme l’élément permettant de faire le lien entre l’échelle plus large du contexte environnant et l’échelle plus ciblée des particularités liées à l’usage.
« La tension entre l’intérieur et l’extérieur »
Dans son ouvrage « Atmosphères », Peter Zumthor développe le thème de la tension existant entre l’intérieur et l’extérieur. Cette tension qu’il évoque se situe à la rencontre des deux univers qu’il identifie. Le premier, est l’espace qui est défini par l’architecture. C’est l’intérieur. Ensuite, et par opposition, il y a ce qui ne fait pas partie de cet espace inscrit dans l’architecture. C’est l’extérieur.
C’est à partir de cette réflexion que le projet s’est attelé à redéfinir une zone d’entre-deux pour ne plus créer de clivage net entre l’intérieur et l’extérieur. Au contraire, la limite que construit l’architecture s’étire et donne du volume à ce lieu de tension afin de créer autant d’espaces intermédiaires, évoluant graduellement de l’intérieur vers l’extérieur, et vice-versa.
Souligner l’existant
La nature est créatrice d’espaces. Le projet tend à souligner les qualités de ces lieux préalables au projet. L’implantation est choisie pour ses qualités paysagères. La végétation, un cours d’eau, la topographie et les chemins présents, trouvent écho dans les dispositifs architecturaux mis en place. Ainsi, une série d’éléments (murs, cadrages, toitures accessibles) permettent d’offrir des points de vue ciblés sur la nature environnante alors que d’autres permettent au projet de se manifester comme lieu remarquable dans ce contexte (auvents, sols, …). La topographie joue un rôle particulier dans le projet en ce qu’elle permet d’identifier une « partie haute » et une « partie basse » caractérisées par les deux espaces d’accès à l’édifice ; la toiture accessible et l’auvent.
Le rapport à l’échelle humaine
Enfin l’architecture est pensée en fonction des dimensions humaines. Chaque élément qui s’y trouve peut-être approprié de différentes manières afin de répondre à des besoins polyvalents. Le projet se présente finalement comme l’élément permettant de faire le lien entre l’échelle plus large du contexte environnant et l’échelle plus ciblée des particularités liées à l’usage.