Projet Bachelier 1
coord. Sara Cremer, Carlo Gonçalves, Carlo Menon, François Vliebergh, Suzanne Giovannini
Catherine Baude
Guillaume Becker
Benjamin Bulot
Benoit Burquel
Pierre Burquel
Philippe De Clerck
Maud De Rijck
Axel Fisher
Christine Godfroid
Carine Jacque
Kiran Katara
Michel Lefèvre
Andrei Miulescu
Paul Mouchet
Emilie Morales Finch
Martin Outers
Isabelle Prignot
Jean-Marc Sterno
Iwan Strauven
Wouter Van Acker
Antoine Wang
Space Fabulation (la fiction par la spatialité)
La pédagogie liée à l’enseignement en première année ne peut se résoudre à veiller à faire acquérir des compétences, même si celles-ci sont essentielles dans la progression des études.
La première année est également l’opportunité, pour les étudiants, de saisir ce que l’architecture peut être et de commencer à définir un intérêt envers elle. En ce sens, l’étendue des attitudes et regards des enseignants du groupe est fondamentale pour pouvoir décrire le milieu dans et vers lequel s’orienter.
À la fin du Q2, l’étudiant doit montrer sa capacité d’élaborer un projet d’architecture « simple », mais abordant déjà la complexité inhérente à chaque projet : s’inscrire dans un cadre bâti existant, confronter des usages existants et projetés, trouver des articulations logiques entre forme, structure et scénario, et ce à plusieurs échelles de travail et à travers une multitude de langages différents (dessin technique, terminologie, collage, maquette…).
Pour atteindre cet objectif, ces multiples dimensions du projet sont abordées à travers des activités spécifiques, qui réduisent la complexité de l’ensemble en se focalisant sur une dimension à la fois. Ces activités sont organisées tout au long de l’année et surtout au Q1.
La variété de ces exercices, a priori différents d’un atelier à un autre, permet d’exposer les étudiant·e·s, directement ou indirectement à plusieurs méthodes et dimensions du projet.
Expérimentation, culture architecturale, représentation, élaboration d’un vocabulaire commun et confrontation au cadre bâti sont ainsi les piliers fondamentaux et communs de l’enseignement du projet en BA1.
Le titre choisi cette année pour identifier le cours de projet de BA1, Space Fabulation (la fiction par la spatialité), insiste sur l’idée que tout projet – et à plus forte raison tout projet à l’école – peut être lu comme une mise en récit d’éléments tangibles, spéculatifs, scientifiques, imaginaires, qui ont trait invariablement au cadre bâti, aux aspects constructifs et compositionnels, aux intentions de projet, aux usages existants et projetés, aux références architecturales. Aborder la complexité du projet d’architecture par le biais de cette mise en récit permet de comprendre et expliciter les liens entre ces dimensions multiples, en les structurant dans une suite cohérente de propositions et de documents.
Dans ce sens, la narration est un outil puissant et flexible : qu’il s’agisse d’un projet « vraisemblable » ou d’un projet plus utopique ou radical, elle structure le processus de travail et détermine les aires d’investigation particulières du projet, ainsi que les documents plus importants pour le matérialiser.
L’interprétation de ce thème en exercice concret est laissée à l’initiative de chaque atelier, au sein d’une concertation collective maintenue. Au second quadrimestre, la convergence est renforcée au travers d’un énoncé de départ commun et transversal : la conception d’un lieu de fête dans ou autour de la Forêt de Soignes.
Projet Bachelier 1
coord. Sara Cremer, Carlo Gonçalves, Carlo Menon, François Vliebergh, Suzanne Giovannini
Catherine Baude
Guillaume Becker
Benjamin Bulot
Benoit Burquel
Pierre Burquel
Philippe De Clerck
Maud De Rijck
Axel Fisher
Christine Godfroid
Carine Jacque
Kiran Katara
Michel Lefèvre
Andrei Miulescu
Paul Mouchet
Emilie Morales Finch
Martin Outers
Isabelle Prignot
Jean-Marc Sterno
Iwan Strauven
Wouter Van Acker
Antoine Wang
Space Fabulation (la fiction par la spatialité)
La pédagogie liée à l’enseignement en première année ne peut se résoudre à veiller à faire acquérir des compétences, même si celles-ci sont essentielles dans la progression des études.
La première année est également l’opportunité, pour les étudiants, de saisir ce que l’architecture peut être et de commencer à définir un intérêt envers elle. En ce sens, l’étendue des attitudes et regards des enseignants du groupe est fondamentale pour pouvoir décrire le milieu dans et vers lequel s’orienter.
À la fin du Q2, l’étudiant doit montrer sa capacité d’élaborer un projet d’architecture « simple », mais abordant déjà la complexité inhérente à chaque projet : s’inscrire dans un cadre bâti existant, confronter des usages existants et projetés, trouver des articulations logiques entre forme, structure et scénario, et ce à plusieurs échelles de travail et à travers une multitude de langages différents (dessin technique, terminologie, collage, maquette…).
Pour atteindre cet objectif, ces multiples dimensions du projet sont abordées à travers des activités spécifiques, qui réduisent la complexité de l’ensemble en se focalisant sur une dimension à la fois. Ces activités sont organisées tout au long de l’année et surtout au Q1.
La variété de ces exercices, a priori différents d’un atelier à un autre, permet d’exposer les étudiant·e·s, directement ou indirectement à plusieurs méthodes et dimensions du projet.
Expérimentation, culture architecturale, représentation, élaboration d’un vocabulaire commun et confrontation au cadre bâti sont ainsi les piliers fondamentaux et communs de l’enseignement du projet en BA1.
Le titre choisi cette année pour identifier le cours de projet de BA1, Space Fabulation (la fiction par la spatialité), insiste sur l’idée que tout projet – et à plus forte raison tout projet à l’école – peut être lu comme une mise en récit d’éléments tangibles, spéculatifs, scientifiques, imaginaires, qui ont trait invariablement au cadre bâti, aux aspects constructifs et compositionnels, aux intentions de projet, aux usages existants et projetés, aux références architecturales. Aborder la complexité du projet d’architecture par le biais de cette mise en récit permet de comprendre et expliciter les liens entre ces dimensions multiples, en les structurant dans une suite cohérente de propositions et de documents.
Dans ce sens, la narration est un outil puissant et flexible : qu’il s’agisse d’un projet « vraisemblable » ou d’un projet plus utopique ou radical, elle structure le processus de travail et détermine les aires d’investigation particulières du projet, ainsi que les documents plus importants pour le matérialiser.
L’interprétation de ce thème en exercice concret est laissée à l’initiative de chaque atelier, au sein d’une concertation collective maintenue. Au second quadrimestre, la convergence est renforcée au travers d’un énoncé de départ commun et transversal : la conception d’un lieu de fête dans ou autour de la Forêt de Soignes.