Équipement(s) disséminé(s)
Nathan Gatignol
BA2
Le projet s’inscrit dans une friche à la frontière de plusieurs tissus urbains hétérogènes et souvent contraires. En approchant le site comme un fragment d’un « Palimpseste » urbain à compléter, le projet cherche faire de la friche un liant urbain par un travail du sol, de l’enveloppe et du paysage, résultant en une architecture disséminée et éclaté sur le site, une architecture du « jeu », un playground qui ferait alors lien entre les entités urbaines préexistantes.
Le travail du sol, qui vient approfondir la topographie existante, crée un tracé régulateur topographique, avec en son sein le bassin, composé de couches de briques – crées par l’extraction des terres argileuses – entouré d’une part par un bâtiment totémique dédié aux vestiaires, faisant le lien entre le sud urbain et le site ; et de l’autre par l’espace communautaire, généré par sa toiture, sorte de parvis inscrit dans la continuité de la rue Auguste de Cock.
Générées à partir de leurs enveloppes, différentes logiques de distributions spatiales sont appliquées aux bâtiments, associant l’horizontalité aux espaces du commun – comme la cafétéria – et la verticalité aux espaces intimes – comme les vestiaires. Autour, des modules viennent peupler le site et faire lien entre les deux principaux bâtiments et le bassin. Servant à créer des usages ponctuels sur le site, leur principale fonction est de signaler les endroits stratégiques qui serviront l’aménagement du paysage.
Ces points stratégiques – établis à partir de l’humidité du bassin et de la nouvelle topographie – délimitent les lieux de diffusions de nouvelles essences de plantes (Citrus trifolliata, Lavande Hidcote, Pommier, Romarin officinal, Orties, Acorus etc..) qui serviront à générer des masses végétales envahissantes, qui in fine viendront envahir l’ensemble du site, et inscrire le projet plus profondément dans son contexte.
Équipement(s) disséminé(s)
Nathan Gatignol
BA2
Le projet s’inscrit dans une friche à la frontière de plusieurs tissus urbains hétérogènes et souvent contraires. En approchant le site comme un fragment d’un « Palimpseste » urbain à compléter, le projet cherche faire de la friche un liant urbain par un travail du sol, de l’enveloppe et du paysage, résultant en une architecture disséminée et éclaté sur le site, une architecture du « jeu », un playground qui ferait alors lien entre les entités urbaines préexistantes.
Le travail du sol, qui vient approfondir la topographie existante, crée un tracé régulateur topographique, avec en son sein le bassin, composé de couches de briques – crées par l’extraction des terres argileuses – entouré d’une part par un bâtiment totémique dédié aux vestiaires, faisant le lien entre le sud urbain et le site ; et de l’autre par l’espace communautaire, généré par sa toiture, sorte de parvis inscrit dans la continuité de la rue Auguste de Cock.
Générées à partir de leurs enveloppes, différentes logiques de distributions spatiales sont appliquées aux bâtiments, associant l’horizontalité aux espaces du commun – comme la cafétéria – et la verticalité aux espaces intimes – comme les vestiaires. Autour, des modules viennent peupler le site et faire lien entre les deux principaux bâtiments et le bassin. Servant à créer des usages ponctuels sur le site, leur principale fonction est de signaler les endroits stratégiques qui serviront l’aménagement du paysage.
Ces points stratégiques – établis à partir de l’humidité du bassin et de la nouvelle topographie – délimitent les lieux de diffusions de nouvelles essences de plantes (Citrus trifolliata, Lavande Hidcote, Pommier, Romarin officinal, Orties, Acorus etc..) qui serviront à générer des masses végétales envahissantes, qui in fine viendront envahir l’ensemble du site, et inscrire le projet plus profondément dans son contexte.