Maxime Lambert
BA2
La proximité avec les rails et la Gare du midi des trois terrains proposés au choix pour cet exercice, donne l’opportunité de venir marquer l’entrée et la sortie de Bruxelles. Le terrain choisi s’y prête particulièrement, car ils se place en début d’ilot et permet alors au bâtiment de s’ériger comme tête de proue. Cette intention de bâtiment signal a généré une volumétrie spécifique avec la grande salle qui prend de la hauteur.
Les deux salles d’entrainement sont selon moi deux générateurs de spectacle, ce qui m’a donne envie d’en faire profiter le maximum d’espaces intérieurs : l’entrée, l’administration et la salle de classe ont vue sur les deux salles, la cafétéria se place au plus haut et profite d’une vue sur la grande salle a la même hauteur que le trapéziste.
Une particularité de ce terrain est qu’il n’a pas de différence de hauteur avec le trottoir, il est en quelque sorte une grande dilatation du trottoir. Ce même principe est repris dans le projet pour l’espace extérieur, avec un élargissement du trottoir offrant plus de confort et de sécurité entre piéton et cycliste, et un banc qui vient se dilater pour offrir des espaces de rencontre au quartier. Le banc finit sur une plus grande dilatation afin de créer un parvis en liaison avec la grande salle, pour des entrainements extérieurs.
Par la rencontre entre la forme de mon bâtiment et le terrain, un espace résiduel se forme qui est valorisé en étendant le rez-de-chaussée et générant une terrasse en lien avec la petite salle. Cette excroissance est percée pour amener de la lumière et une circulation annexe.
L’accès à l’usine est agrandi afin de créer une petite placette, qui grâce à la volumétrie garde une hauteur plus humaine.
La volumétrie franche est conservée en traitant la circulation verticale et la cafétéria comme des interventions ponctuelles, qui ont leurs propres formes et matérialités et dérogent volontairement à l’homogénéité du bâtiment.
Maxime Lambert
BA2
La proximité avec les rails et la Gare du midi des trois terrains proposés au choix pour cet exercice, donne l’opportunité de venir marquer l’entrée et la sortie de Bruxelles. Le terrain choisi s’y prête particulièrement, car ils se place en début d’ilot et permet alors au bâtiment de s’ériger comme tête de proue. Cette intention de bâtiment signal a généré une volumétrie spécifique avec la grande salle qui prend de la hauteur.
Les deux salles d’entrainement sont selon moi deux générateurs de spectacle, ce qui m’a donne envie d’en faire profiter le maximum d’espaces intérieurs : l’entrée, l’administration et la salle de classe ont vue sur les deux salles, la cafétéria se place au plus haut et profite d’une vue sur la grande salle a la même hauteur que le trapéziste.
Une particularité de ce terrain est qu’il n’a pas de différence de hauteur avec le trottoir, il est en quelque sorte une grande dilatation du trottoir. Ce même principe est repris dans le projet pour l’espace extérieur, avec un élargissement du trottoir offrant plus de confort et de sécurité entre piéton et cycliste, et un banc qui vient se dilater pour offrir des espaces de rencontre au quartier. Le banc finit sur une plus grande dilatation afin de créer un parvis en liaison avec la grande salle, pour des entrainements extérieurs.
Par la rencontre entre la forme de mon bâtiment et le terrain, un espace résiduel se forme qui est valorisé en étendant le rez-de-chaussée et générant une terrasse en lien avec la petite salle. Cette excroissance est percée pour amener de la lumière et une circulation annexe.
L’accès à l’usine est agrandi afin de créer une petite placette, qui grâce à la volumétrie garde une hauteur plus humaine.
La volumétrie franche est conservée en traitant la circulation verticale et la cafétéria comme des interventions ponctuelles, qui ont leurs propres formes et matérialités et dérogent volontairement à l’homogénéité du bâtiment.