Goyas contemporaines
Molly Verougstraete
MAP2 (Q10)
Dans un contexte naturel déjà propice aux périodes sèches, le Haut-Doubs cristallise les enjeux liés à la pénurie d'eau : entre augmentation démographique, besoins en eau inhérents aux pratiques agricoles et sous le joug du réchauffement climatique, les politiques locales font face à des choix déterminants pour leur développement.
Face à une pénurie d’eau de plus en plus récurrente les communes d’Hauterive-la-Fresse et Les Alliés ont décidé de s’inspirer d’une méthode traditionnelle du massif du Jura concernant le stockage de l’eau. Cette méthode consiste à imperméabiliser les dolines afin de récupérer l’eau issue de la fonte des neiges et des chutes de pluie en empêchant son infiltration dans le réseau karstique. Le projet de Molly Verougstraete tire parti de ces méthodes et connaissances traditionnelles et transforme le risque de pénurie en une source opportunités.
A l’échelle du territoire d’étude le paysage de plateau est ponctué de mares artificielles surnommées « Goyas ». Celles-ci servent à alimenter en eau les abreuvoirs à l’horizon 2050 (26000m3) et ainsi à préserver l’eau potable pour la consommation humaine. Le projet de paysage renforce le caractère culturel de ce paysage en soutenant l’écotourisme (pédagogie liée à la géologie karstique, au patrimoine, à la biodiversité ...).
Goyas contemporaines
Molly Verougstraete
MAP2 (Q10)
Dans un contexte naturel déjà propice aux périodes sèches, le Haut-Doubs cristallise les enjeux liés à la pénurie d'eau : entre augmentation démographique, besoins en eau inhérents aux pratiques agricoles et sous le joug du réchauffement climatique, les politiques locales font face à des choix déterminants pour leur développement.
Face à une pénurie d’eau de plus en plus récurrente les communes d’Hauterive-la-Fresse et Les Alliés ont décidé de s’inspirer d’une méthode traditionnelle du massif du Jura concernant le stockage de l’eau. Cette méthode consiste à imperméabiliser les dolines afin de récupérer l’eau issue de la fonte des neiges et des chutes de pluie en empêchant son infiltration dans le réseau karstique. Le projet de Molly Verougstraete tire parti de ces méthodes et connaissances traditionnelles et transforme le risque de pénurie en une source opportunités.
A l’échelle du territoire d’étude le paysage de plateau est ponctué de mares artificielles surnommées « Goyas ». Celles-ci servent à alimenter en eau les abreuvoirs à l’horizon 2050 (26000m3) et ainsi à préserver l’eau potable pour la consommation humaine. Le projet de paysage renforce le caractère culturel de ce paysage en soutenant l’écotourisme (pédagogie liée à la géologie karstique, au patrimoine, à la biodiversité ...).