Nodalité(s)
Chada Al Smadi, Penda Atindehou, Leylou Boey
commun·e
Forte de sa situation urbanistique dans Couillet-Village, Nodalité(s) crée des nœuds et tisse des liens.
Le passé lié à l'activité industrielle du charbonnage qui marque la mémoire du territoire et des habitants nous met face à une population prête à se reconvertir et avide d’une réhabilitation de leur cadre de vie (patrimoine dormant, Sambre inaccessible à toute vie publique, insuffisance programmatique). Il en ressort un questionnement : Comment réconcilier les habitants de couillet village avec leur territoire et leur histoire ? C’est dans cette vison que notre projet se saisit de l’élément patrimonial le plus marquant de l’enclave : les halles industrielles de Carbobois, situées en plein cœur du site.
Nodalité(s) crée un pôle de rencontre entre ville habitée et ville productive par la frange symbiotique mêlant ces deux parties. Nodalité(s) affirme et renforce le lien entre la gare multimodale et la Sambre pour ne plus considérer les bords de site comme une césure dont l’accès est restreint. Enfin, Nodalité(s) redonne vie aux halles Carbobois en y amenant le public pour briser la glace d’un côté industriel non accessible.
Occuper les halles de Carbobois a nécessité un réaménagement du stockage actuel des lieux. Une intensification de celui-ci permet de l’optimiser au maximum afin de libérer trois halles qui vont devenir des axes charnières : l’axe public (qui abrite des activités socio-culturelles : bibliothèque, salle polyvalente, restaurant) et l’axe productif (qui propose des ateliers éco-responsables : menuiserie, ressourcerie, matériauthèque, etc.). Ainsi le projet développé comporte la réhabilitation de ces grandes halles en équipements publics, attractifs non seulement pour les habitants du quartier mais également à l’échelle de la ville. Les Halles ont trois interfaces permettant de les appréhender de trois manières différentes. Une interface à redents dédiée à l’industriel et au productif. Une interface vitrine, permettant d’observer l’activité productive des ateliers. Une interface organique, intégrant le parc public dans la halle publique en lui donnant un coté plus humain.
Nodalité(s)
Chada Al Smadi, Penda Atindehou, Leylou Boey
commun·e
Forte de sa situation urbanistique dans Couillet-Village, Nodalité(s) crée des nœuds et tisse des liens.
Le passé lié à l'activité industrielle du charbonnage qui marque la mémoire du territoire et des habitants nous met face à une population prête à se reconvertir et avide d’une réhabilitation de leur cadre de vie (patrimoine dormant, Sambre inaccessible à toute vie publique, insuffisance programmatique). Il en ressort un questionnement : Comment réconcilier les habitants de couillet village avec leur territoire et leur histoire ? C’est dans cette vison que notre projet se saisit de l’élément patrimonial le plus marquant de l’enclave : les halles industrielles de Carbobois, situées en plein cœur du site.
Nodalité(s) crée un pôle de rencontre entre ville habitée et ville productive par la frange symbiotique mêlant ces deux parties. Nodalité(s) affirme et renforce le lien entre la gare multimodale et la Sambre pour ne plus considérer les bords de site comme une césure dont l’accès est restreint. Enfin, Nodalité(s) redonne vie aux halles Carbobois en y amenant le public pour briser la glace d’un côté industriel non accessible.
Occuper les halles de Carbobois a nécessité un réaménagement du stockage actuel des lieux. Une intensification de celui-ci permet de l’optimiser au maximum afin de libérer trois halles qui vont devenir des axes charnières : l’axe public (qui abrite des activités socio-culturelles : bibliothèque, salle polyvalente, restaurant) et l’axe productif (qui propose des ateliers éco-responsables : menuiserie, ressourcerie, matériauthèque, etc.). Ainsi le projet développé comporte la réhabilitation de ces grandes halles en équipements publics, attractifs non seulement pour les habitants du quartier mais également à l’échelle de la ville. Les Halles ont trois interfaces permettant de les appréhender de trois manières différentes. Une interface à redents dédiée à l’industriel et au productif. Une interface vitrine, permettant d’observer l’activité productive des ateliers. Une interface organique, intégrant le parc public dans la halle publique en lui donnant un coté plus humain.