La boue et le roseau
Antoine Boudesocque, Capucine Rombi
CUMA
L’eau n’a cessé de créer des conflits populaires dans la Vallée de la Vesdre. De l’eau de production à l’eau domestique, cette ressource à été mise en danger a plusieurs reprises. Pour remédier a ceci, l’Homme a bâti des pansages. Mais l’eau, ressource en danger, est également une ressource dangereuse.
A la suite des inondations de juillet 2021, plusieurs infrastructures collectives ont été mises hors d’usage dont les 4 stations d’épuration. Ceci a provoqué une forte pollution organique, de longue durée, générée par les effluents domestiques. Le caractère artificiel de ces installations prouve que certaines options plus résilientes devaient être mises en œuvre.
Il n’est pas sans savoir que les plantes peuvent être utilisées comme principal agent de traitement des eaux à épurer. L’idée est simple, mais non moins efficace. Ce procédé pourrait s’intégrer dans une dimension durable et l’eau dites sale ne serait plus à cacher, elle ferait partie intégrante du paysage.
Pour se réconcilier avec la rivière, il faut aussi la réinventer dans notre imaginaire et ressusciter les récits qui y sont liés. Il est nécessaire de s’en rapprocher physiquement et donc engager la population locale a se tourner à nouveau vers sa propre production d’eau sale.
Sur le territoire de Chaudfontaine, dans la continuité du Circuit de l’eau, le complexe sportif et la friche avoisinante de la station d’épuration de La Brouck est un exemple d’espace à haut potentiel pour de nouvelles pratiques.
La boue et le roseau
Antoine Boudesocque, Capucine Rombi
CUMA
L’eau n’a cessé de créer des conflits populaires dans la Vallée de la Vesdre. De l’eau de production à l’eau domestique, cette ressource à été mise en danger a plusieurs reprises. Pour remédier a ceci, l’Homme a bâti des pansages. Mais l’eau, ressource en danger, est également une ressource dangereuse.
A la suite des inondations de juillet 2021, plusieurs infrastructures collectives ont été mises hors d’usage dont les 4 stations d’épuration. Ceci a provoqué une forte pollution organique, de longue durée, générée par les effluents domestiques. Le caractère artificiel de ces installations prouve que certaines options plus résilientes devaient être mises en œuvre.
Il n’est pas sans savoir que les plantes peuvent être utilisées comme principal agent de traitement des eaux à épurer. L’idée est simple, mais non moins efficace. Ce procédé pourrait s’intégrer dans une dimension durable et l’eau dites sale ne serait plus à cacher, elle ferait partie intégrante du paysage.
Pour se réconcilier avec la rivière, il faut aussi la réinventer dans notre imaginaire et ressusciter les récits qui y sont liés. Il est nécessaire de s’en rapprocher physiquement et donc engager la population locale a se tourner à nouveau vers sa propre production d’eau sale.
Sur le territoire de Chaudfontaine, dans la continuité du Circuit de l’eau, le complexe sportif et la friche avoisinante de la station d’épuration de La Brouck est un exemple d’espace à haut potentiel pour de nouvelles pratiques.