L’architecture cinétique traite des éléments constructifs en mouvement. Pour citer les précurseurs de ce mouvement, W. Zuk et R. Clark : « An architecture can adapt to changes taking place within a set of pressures acting upon it and the technology that provides the tool for interpretation and implementation of these pressures »
Pour ce travail, il s’agit d'évaluer la fonctionnalité des façades résponsives qui permettent l'adaptation aux données climatiques contextuelles. Ainsi, les enveloppes protégeant le volume intérieur deviennent équivalentes à la peau des animaux ou des plantes en régulant le taux de rayonnement lumineux visible et infrarouge grâce à une modification de leur perméabilité. Il s’agit d'abord d'un travail analytique afin de s'approprier les techniques utilisées et testées par les applications dans des projets réalisés. Il s’agit ensuite d'étudier la mécanique intrinsèque de ces structures en proposant une multitude de systèmes différents. La sensibilité des modules a nécessité une attention particulière et a conduit à la conception de plusieurs pièces de régulation différentes interchangeables qui permettent une fluidité dans le mode d'actionnement du filtre. Enfin, la phase de simulation a permis de démontrer les avantages en termes de confort et d'énergie grâce aux résultats empiriques. Les modules témoignent également d’un caractère artistique car il est indéniable que l’aspect esthétique joue un rôle prépondérant pour les structures cinétiques. L’expérimentation poursuit dans le cadre du digital fabrication studio, montre la diversité des modules et leurs modes de régulation possibles pour une application en façade cinétique, mais surtout elle montre que ces éléments permettent au bâtiment d’optimiser leur bilan énergétique ainsi que le filtrage de la lumière du spectre visible en situation hibernale comme en situation estivale. L’approche high-tech démontrée dans ces travaux va nécessairement de pair avec des stratégies passives de high-design.
L’architecture cinétique traite des éléments constructifs en mouvement. Pour citer les précurseurs de ce mouvement, W. Zuk et R. Clark : « An architecture can adapt to changes taking place within a set of pressures acting upon it and the technology that provides the tool for interpretation and implementation of these pressures »
Pour ce travail, il s’agit d'évaluer la fonctionnalité des façades résponsives qui permettent l'adaptation aux données climatiques contextuelles. Ainsi, les enveloppes protégeant le volume intérieur deviennent équivalentes à la peau des animaux ou des plantes en régulant le taux de rayonnement lumineux visible et infrarouge grâce à une modification de leur perméabilité. Il s’agit d'abord d'un travail analytique afin de s'approprier les techniques utilisées et testées par les applications dans des projets réalisés. Il s’agit ensuite d'étudier la mécanique intrinsèque de ces structures en proposant une multitude de systèmes différents. La sensibilité des modules a nécessité une attention particulière et a conduit à la conception de plusieurs pièces de régulation différentes interchangeables qui permettent une fluidité dans le mode d'actionnement du filtre. Enfin, la phase de simulation a permis de démontrer les avantages en termes de confort et d'énergie grâce aux résultats empiriques. Les modules témoignent également d’un caractère artistique car il est indéniable que l’aspect esthétique joue un rôle prépondérant pour les structures cinétiques. L’expérimentation poursuit dans le cadre du digital fabrication studio, montre la diversité des modules et leurs modes de régulation possibles pour une application en façade cinétique, mais surtout elle montre que ces éléments permettent au bâtiment d’optimiser leur bilan énergétique ainsi que le filtrage de la lumière du spectre visible en situation hibernale comme en situation estivale. L’approche high-tech démontrée dans ces travaux va nécessairement de pair avec des stratégies passives de high-design.