Le projet s’installe dans un contexte existant. Le bois habité, contenant plus de 250 habitations, se distribue en bandes. Ces habitations individuelles, coupées de la ville de Lille, n’entretiennent pas de relations entre elles. L’intention dans ce projet est d’améliorer un existant avec un quartier aux habitations individuelles qui deviendrait des habitations partagées, avec un espace végétalisé qui se transformerait en verger afin de générer des échanges entre les habitants en leur permettant aussi d’être plus autonomes. Le parti du projet est de pouvoir reconnaître le potentiel d’un lieu existant puis de lui apporter de petites interventions, à différentes échelles, pour le modifier ou encore améliorer la qualité de celui-ci.
L’intervention architecturale se limite à l’installation de la passerelle, elle permet le passage entre les deux bâtiments appartenant à deux bandes distinctes. Celle-ci s’impose à l’organisation spatiale parallèle du lieu et vient casser le rythme donné par ces habitations en bandes. Le passage permet la communication entre les espaces privés et communs au sein du cohabitat. Nous nous efforçons aujourd’hui de vivre de manière moins matérialiste et plus responsable face au nouveau régime climatique. Nous essayons donc trouver des solutions face à cette situation actuelle. L’une d’elle est la cohabitation. En effet, la cohabitation est une des solutions au problème de la densité des villes croissantes. Elle permet également le partage entre plusieurs générations et aide ainsi chacun à vivre de manière plus confortable.
La disposition de ces deux bâtiments divise l’espace en deux parties distinctes, une privée, plus cloisonnée et l’autre commune, plus poreuse qui génère des interactions plus fortes. La passerelle devient alors l’espace « entre-deux » où les habitants se croisent.
Le projet s’installe dans un contexte existant. Le bois habité, contenant plus de 250 habitations, se distribue en bandes. Ces habitations individuelles, coupées de la ville de Lille, n’entretiennent pas de relations entre elles. L’intention dans ce projet est d’améliorer un existant avec un quartier aux habitations individuelles qui deviendrait des habitations partagées, avec un espace végétalisé qui se transformerait en verger afin de générer des échanges entre les habitants en leur permettant aussi d’être plus autonomes. Le parti du projet est de pouvoir reconnaître le potentiel d’un lieu existant puis de lui apporter de petites interventions, à différentes échelles, pour le modifier ou encore améliorer la qualité de celui-ci.
L’intervention architecturale se limite à l’installation de la passerelle, elle permet le passage entre les deux bâtiments appartenant à deux bandes distinctes. Celle-ci s’impose à l’organisation spatiale parallèle du lieu et vient casser le rythme donné par ces habitations en bandes. Le passage permet la communication entre les espaces privés et communs au sein du cohabitat. Nous nous efforçons aujourd’hui de vivre de manière moins matérialiste et plus responsable face au nouveau régime climatique. Nous essayons donc trouver des solutions face à cette situation actuelle. L’une d’elle est la cohabitation. En effet, la cohabitation est une des solutions au problème de la densité des villes croissantes. Elle permet également le partage entre plusieurs générations et aide ainsi chacun à vivre de manière plus confortable.
La disposition de ces deux bâtiments divise l’espace en deux parties distinctes, une privée, plus cloisonnée et l’autre commune, plus poreuse qui génère des interactions plus fortes. La passerelle devient alors l’espace « entre-deux » où les habitants se croisent.