À l’intérieur de l’îlot
Dora Rousseau
MML
Depuis plusieurs années, les anciens quartiers industriels de la périphérie de Gand sont réinvestis, considérés comme de nouveaux centres de développement économique. Le marché du travail se réinvente et les immeubles de bureaux sont progressivement délaissés. Il faut donc penser des espaces de travail durables, accessibles et propices aux échanges et aux rencontres informels. Le projet s’intéresse donc à une programmation mixte favorisant le développement d’activités professionnelles de travailleurs autonomes tout en encourageant les interactions au sein du quartier.
Le projet s’articule en trois volumes répondant aux typologies du quartier, dialoguant avec un paysage industriel fortement marqué et des arrières d’habitations exigus. Le premier volume comprend des bureaux privatifs. Il referme le tissu urbain cependant il présente une faille qui crée un appel vers l’intérieur de l’îlot. Le second volume comprend des ateliers partagés et bénéficie d’une orientation Nord de sorte à recevoir une lumière homogène tout au long de la journée. Enfin, le troisième volume comprend tous les espaces plus publics tels que l’open space et la cafétéria des travailleurs. Un espace communautaire permet également d’accueillir toutes sortes d’événements qui feraient vivre le lieu ; concerts, conférences, expositions, etc. Les toitures inclinées font écho aux toitures en shed des bâtiments industriels qui bordent la parcelle. Ces volumes génèrent deux espaces extérieurs. Le premier est en relation avec les ateliers et l’espace communautaire. Le second, quant à lui, est plus intime, offrant un espace vert aux habitants et aux travailleurs.
À l’images des bâtiments industriels du quartier, le projet présente une matérialité en briques. Le bâtiment est constitué de deux structures entièrement indépendantes l’une de l’autre. L’enveloppe extérieure est en briques et la structure intérieure est en bois, permettant d’isoler le bâtiment. Le caractère durable du bâtiment provient de la longue durée de vie de la brique. Telle une ruine intelligente, le bâtiment pourra évoluer, réceptif aux transformations du temps.
À l’intérieur de l’îlot
Dora Rousseau
MML
Depuis plusieurs années, les anciens quartiers industriels de la périphérie de Gand sont réinvestis, considérés comme de nouveaux centres de développement économique. Le marché du travail se réinvente et les immeubles de bureaux sont progressivement délaissés. Il faut donc penser des espaces de travail durables, accessibles et propices aux échanges et aux rencontres informels. Le projet s’intéresse donc à une programmation mixte favorisant le développement d’activités professionnelles de travailleurs autonomes tout en encourageant les interactions au sein du quartier.
Le projet s’articule en trois volumes répondant aux typologies du quartier, dialoguant avec un paysage industriel fortement marqué et des arrières d’habitations exigus. Le premier volume comprend des bureaux privatifs. Il referme le tissu urbain cependant il présente une faille qui crée un appel vers l’intérieur de l’îlot. Le second volume comprend des ateliers partagés et bénéficie d’une orientation Nord de sorte à recevoir une lumière homogène tout au long de la journée. Enfin, le troisième volume comprend tous les espaces plus publics tels que l’open space et la cafétéria des travailleurs. Un espace communautaire permet également d’accueillir toutes sortes d’événements qui feraient vivre le lieu ; concerts, conférences, expositions, etc. Les toitures inclinées font écho aux toitures en shed des bâtiments industriels qui bordent la parcelle. Ces volumes génèrent deux espaces extérieurs. Le premier est en relation avec les ateliers et l’espace communautaire. Le second, quant à lui, est plus intime, offrant un espace vert aux habitants et aux travailleurs.
À l’images des bâtiments industriels du quartier, le projet présente une matérialité en briques. Le bâtiment est constitué de deux structures entièrement indépendantes l’une de l’autre. L’enveloppe extérieure est en briques et la structure intérieure est en bois, permettant d’isoler le bâtiment. Le caractère durable du bâtiment provient de la longue durée de vie de la brique. Telle une ruine intelligente, le bâtiment pourra évoluer, réceptif aux transformations du temps.