The Introduction of Pragmatism in Architecture (1990–2010): The Role of Women and the Fate of Feminism
Pauline Lefebvre
The introduction of pragmatism in architectural discussions in the early 2000s caused fierce objections by those who thought that abandoning critical theory and adopting pragmatism instead would take architecture adrift. This chapter highlights moments within this debate when pragmatism was presented as a forceful alternative to critical theory in terms of the political engagements it requires from practitioners and thinkers who adopt it. Among those who did that most convincingly were two women architectural historians and theoreticians. Joan Ockman organized a major conference on pragmatism and architecture in New York in 2000. Gwendolyn Wright was part of that event and published in its wake a series of texts connecting the influence of pragmatism with socially oriented architectural practices. Tracing the role of these two protagonists in particular, the chapter also touches upon the fate of feminism within this intellectual history.
in Women in Pragmatism: Past, Present and Future, ed. by Nuria Sara Miras Boronat and Michela Bella (Cham: Springer), pp. 213-223
Open House
Tim Pierson
BA2
D’un côté on retrouve des maisons et des entrepôts qui nous emmènent vers le Wiels, de l’autre côté, une longue colonnade nous amène à la gare du midi. Situé entre deux mondes urbains différents, le projet, c’est-à-dire l’école de cirque, cherche à réunir ces deux contextes en les réduisant à leur fonction fondamentale, contenir et soutenir respectivement. C’est l’idée de base qui a guidé le projet et que l’on retrouve dans sa morphologie.
Ensuite, vient s’ajouter la volonté d’animer le quartier, qui présente aujourd’hui un aspect triste et délaissé. Afin d’y parvenir, le projet cherche à s’ouvrir au maximum sur le quartier, d’être en constante communication avec celui-ci à travers des relations visuelles et de créer des espaces publics et privés que les étudiants de l’école mais aussi les habitants du quartier pourront s’approprier. D’où le nom « Open House ». C’est ainsi que le rez-de-chaussée peut s’ouvrir entièrement du côté rue, afin de rendre la limite entre intérieur et extérieur et donc privé et public floue. La cafétéria devient publique et peut s’étendre vers la rue. Différents équipements, marqués en rouge, viennent s’insérer dans le projet et créent davantage d’espaces appropriables. D’autre part, le programme a été adapté aux intentions. La salle de classe et la salle de réunion ont été remplacées par le grand espace central du R+1 doté de gradins amovibles. Cela crée un espace polyvalent, capable de s’adapter à une multitude d’usages.
L’école de cirque cherche à créer un point focal dans le quartier, tant pour les étudiants que pour les habitants, afin de lui redonner un peu de vie.