Foreign aid for rural development: village design and planning in post-independence Morocco
Michele Tenzon, A. Fisher
During the late colonial era and after independence, international organizations engaged in donating foreign aid to Morocco. The United Nations' technical assistance initiatives engaged in ambitious schemes targeting the rural realm. Among them, the Lalla Mimouna community development project (1957–1965), the Projet Sebou (1963–1980), and the Programme d'habitat rural (1967–1972). All three projects were concerned about the physical rural environment, which is assessed in this article on a common scale: the village. Given that they each focus on the geographical area of the Gharb plain, these projects offer a cross-section over the entanglements between their supporting international organizations' policies and the disciplinary expertise of village planning and design. After providing an overview of the development agendas of the aforementioned UN bodies, we discuss each of the case studies on the basis of unpublished archival material. Then, we discuss the overlaps in the UN bodies' development ideologies in relation to the ideologies inherited from the colonial era, and their selective appropriation by Moroccan polities. Finally, we argue that whereas planning practices were highly sensitive to the shifting paradigms of international aid organizations, village design remained relatively autonomous. This raises questions concerning the capacity of the disciplines of planning and development studies to carry out their emancipatory missions.
Open House
Tim Pierson
BA2
D’un côté on retrouve des maisons et des entrepôts qui nous emmènent vers le Wiels, de l’autre côté, une longue colonnade nous amène à la gare du midi. Situé entre deux mondes urbains différents, le projet, c’est-à-dire l’école de cirque, cherche à réunir ces deux contextes en les réduisant à leur fonction fondamentale, contenir et soutenir respectivement. C’est l’idée de base qui a guidé le projet et que l’on retrouve dans sa morphologie.
Ensuite, vient s’ajouter la volonté d’animer le quartier, qui présente aujourd’hui un aspect triste et délaissé. Afin d’y parvenir, le projet cherche à s’ouvrir au maximum sur le quartier, d’être en constante communication avec celui-ci à travers des relations visuelles et de créer des espaces publics et privés que les étudiants de l’école mais aussi les habitants du quartier pourront s’approprier. D’où le nom « Open House ». C’est ainsi que le rez-de-chaussée peut s’ouvrir entièrement du côté rue, afin de rendre la limite entre intérieur et extérieur et donc privé et public floue. La cafétéria devient publique et peut s’étendre vers la rue. Différents équipements, marqués en rouge, viennent s’insérer dans le projet et créent davantage d’espaces appropriables. D’autre part, le programme a été adapté aux intentions. La salle de classe et la salle de réunion ont été remplacées par le grand espace central du R+1 doté de gradins amovibles. Cela crée un espace polyvalent, capable de s’adapter à une multitude d’usages.
L’école de cirque cherche à créer un point focal dans le quartier, tant pour les étudiants que pour les habitants, afin de lui redonner un peu de vie.