Le projet est le fruit d’une réflexion sur la villa, initié par la réalisation d’un diptyque comparant deux villas à travers les usages et les usagers de chacune d’entre elle: la villa Emo (Palladio) et la Communal Villa (Dogma). La piste exploitée, résultant de ce travail, est celle d’une nouvelle forme d’habitat; une forme de vie, qui pourrait aller au-delà de ce qu’a toujours été le projet de villa, essentiellement conçue pour la vie familiale et tous les cadres idéologiques et économiques qu’elle représente.
L’analyse de site indique la présence d’un grand axe routier, un cours d’eau, un bassin, un bois et des champs; ce sont principalement ces éléments qui ont nourri le projet. Celui-ci s’implante à la façon de la villa Emo, frontale aux champs et perpendiculaire à la route, permettant la création de 3 pôles: un pôle agricole, un pôle horticole et un pôle sylvicole. Le bâtiment, au centre de ces trois pôles, comprend une école agricole, une école de métiers du bois, des ateliers créatifs, ainsi que des logements qui accueillent tous les apprentis, artisans et autres personnes désirant se joindre à ce projet collectif. Les habitants sont maîtres de l’agencement de leur lieu de vie : le projet est donc en constante évolution. On retrouve 5 unités qui hébergent, au centre, un lieu de vie commun, autour duquel s’organisent les unités d’habitation et les différents espaces d’apprentissage ou ateliers. Ces 5 unités sont connectées par des espaces liés à la production agricole ou du bois, se trouvant en dessous des arcades et offrant de grands volumes afin d’y développer ces activités.
Le tout se présente comme une barchessa, en adéquation avec les enjeux politiques, économiques et sociaux actuels. Il s’agit de repenser cet élément architectural de Palladio, qui avait une fonction agricole purement productive, et de l’adapter aux conditions actuelles.
Le projet est le fruit d’une réflexion sur la villa, initié par la réalisation d’un diptyque comparant deux villas à travers les usages et les usagers de chacune d’entre elle: la villa Emo (Palladio) et la Communal Villa (Dogma). La piste exploitée, résultant de ce travail, est celle d’une nouvelle forme d’habitat; une forme de vie, qui pourrait aller au-delà de ce qu’a toujours été le projet de villa, essentiellement conçue pour la vie familiale et tous les cadres idéologiques et économiques qu’elle représente.
L’analyse de site indique la présence d’un grand axe routier, un cours d’eau, un bassin, un bois et des champs; ce sont principalement ces éléments qui ont nourri le projet. Celui-ci s’implante à la façon de la villa Emo, frontale aux champs et perpendiculaire à la route, permettant la création de 3 pôles: un pôle agricole, un pôle horticole et un pôle sylvicole. Le bâtiment, au centre de ces trois pôles, comprend une école agricole, une école de métiers du bois, des ateliers créatifs, ainsi que des logements qui accueillent tous les apprentis, artisans et autres personnes désirant se joindre à ce projet collectif. Les habitants sont maîtres de l’agencement de leur lieu de vie : le projet est donc en constante évolution. On retrouve 5 unités qui hébergent, au centre, un lieu de vie commun, autour duquel s’organisent les unités d’habitation et les différents espaces d’apprentissage ou ateliers. Ces 5 unités sont connectées par des espaces liés à la production agricole ou du bois, se trouvant en dessous des arcades et offrant de grands volumes afin d’y développer ces activités.
Le tout se présente comme une barchessa, en adéquation avec les enjeux politiques, économiques et sociaux actuels. Il s’agit de repenser cet élément architectural de Palladio, qui avait une fonction agricole purement productive, et de l’adapter aux conditions actuelles.