Gaia Cristofoli, Maelle Durin, Maude Lefebvre, Axel Wlody
MML
Le site, classé par l’UNESCO, s’inscrit aujourd’hui de manière un peu incertaine dans un projet de grande envergure, lui-même semblant incertain. La candidature de Matera 2019 émane d’un prolongement de valorisation des Sassi en centre historique, lentement entamée depuis les années 1950 d’où émerge l’idée du DEA, un musée démo-ethno-anthropologique. Ce musée se voulait donc être un levier important pour le développement de l’attractivité culturelle de Matera et de la région Basilicate en projetant différentes programmations à l’échelle urbaine, voulant répondre à des considérations liées au patrimoine, aux archives historiques, à la culture et à leur conservation. Une circulation et un parcours ont alors été prévu, entre espaces extérieurs et espaces creusés dans les grottes suivant un objectif de présentation des Sassi comme un écosystème rendant compte de la civilisation rupestre et de l’histoire de la relation entre l’espèce humaine et son environnement. Dans la continuité donc de la réflexion apportée par le DEA, le programme de Centre de recherche et d’interprétation de la biodiversité tend à sensibiliser le public au besoin essentiel de la biodiversité, à promouvoir la recherche scientifique afin de la préserver, tout en articulant le lieu avec la réserve naturelle de Matera et la fabrique urbaine. L’objectif est alors d’intégrer la question de la biodiversité comme une considération patrimoniale actuelle aujourd’hui délaissée à Matera. Comment travailler la coexistence d’un espace délaissé avec une sensibilisation à la biodiversité à l’échelle macro, dans le cadre d’un programme culturel et éducatif ?
Gaia Cristofoli, Maelle Durin, Maude Lefebvre, Axel Wlody
MML
Le site, classé par l’UNESCO, s’inscrit aujourd’hui de manière un peu incertaine dans un projet de grande envergure, lui-même semblant incertain. La candidature de Matera 2019 émane d’un prolongement de valorisation des Sassi en centre historique, lentement entamée depuis les années 1950 d’où émerge l’idée du DEA, un musée démo-ethno-anthropologique. Ce musée se voulait donc être un levier important pour le développement de l’attractivité culturelle de Matera et de la région Basilicate en projetant différentes programmations à l’échelle urbaine, voulant répondre à des considérations liées au patrimoine, aux archives historiques, à la culture et à leur conservation. Une circulation et un parcours ont alors été prévu, entre espaces extérieurs et espaces creusés dans les grottes suivant un objectif de présentation des Sassi comme un écosystème rendant compte de la civilisation rupestre et de l’histoire de la relation entre l’espèce humaine et son environnement. Dans la continuité donc de la réflexion apportée par le DEA, le programme de Centre de recherche et d’interprétation de la biodiversité tend à sensibiliser le public au besoin essentiel de la biodiversité, à promouvoir la recherche scientifique afin de la préserver, tout en articulant le lieu avec la réserve naturelle de Matera et la fabrique urbaine. L’objectif est alors d’intégrer la question de la biodiversité comme une considération patrimoniale actuelle aujourd’hui délaissée à Matera. Comment travailler la coexistence d’un espace délaissé avec une sensibilisation à la biodiversité à l’échelle macro, dans le cadre d’un programme culturel et éducatif ?