Ambroise Cail
BA1
Lors de notre visite à Malines, le flux de cyclistes m’a particulièrement marqué. La ville est un lieu de passage majeur du cyclisme en Flandres, c’est donc assez naturellement que je me suis consacré à la conception d’un lieu dédié à ces usagers. L’objectif est de concevoir un lieu d’accueil convivial et adapté à tous, où il est possible de s’arrêter afin de manger un morceau, loger pour une nuit, ou réparer son vélo tout en créant du lien avec les autres cyclistes.
Le choix de la parcelle s’est orienté vers le terrain à la confluence des deux bras de la Dyle. La forme dynamique du terrain et sa relation importante avec l’eau m’a grandement inspiré. De plus il s’agît d’un terrain de remblai, ce qui permet de limiter l’impact direct sur la biodiversité.
Le bâtiment se caractérise par une articulation vitrée, matérialisée par une grande verrière qui divise l’espace en 2 parties : les espaces servis et servants. Ils s’organisent sous deux larges pans de toit inclinés qui viennent dynamiser les espaces intérieurs. D’un point de vue extérieur, ils créent un mouvement qui suit celui de la Dyle, délimitent des espaces et viennent intégrer l’architecture dans son environnement.
Aux abords du bâtiment se trouvent de grands bacs végétaux qui amènent l’utilisateur jusqu’à l’accueil extérieur, puis à l’atelier de réparation de vélo autonome. On retrouve ensuite un passage extérieur qui mène à la terrasse en surplomb de l’eau, ainsi qu’à une rampe d’accès à la rivière. L’enchainement de ces espaces crée une continuité et vient implanter l’architecture au terrain avec la rampe, tout en donnant une impression de légèreté grâce aux espaces en surplomb.
Il était également nécessaire de prendre en compte la durabilité et la biodiversité. Pour cela, j’ai opté pour l’utilisation du bois, avec une structure portante ainsi que des revêtements en bois. De plus, j’ai souhaité redynamiser la biodiversité avec les bacs végétaux qui permettent un « laisser faire », ainsi que des hôtels à insectes sur la façade est.
Ambroise Cail
BA1
Lors de notre visite à Malines, le flux de cyclistes m’a particulièrement marqué. La ville est un lieu de passage majeur du cyclisme en Flandres, c’est donc assez naturellement que je me suis consacré à la conception d’un lieu dédié à ces usagers. L’objectif est de concevoir un lieu d’accueil convivial et adapté à tous, où il est possible de s’arrêter afin de manger un morceau, loger pour une nuit, ou réparer son vélo tout en créant du lien avec les autres cyclistes.
Le choix de la parcelle s’est orienté vers le terrain à la confluence des deux bras de la Dyle. La forme dynamique du terrain et sa relation importante avec l’eau m’a grandement inspiré. De plus il s’agît d’un terrain de remblai, ce qui permet de limiter l’impact direct sur la biodiversité.
Le bâtiment se caractérise par une articulation vitrée, matérialisée par une grande verrière qui divise l’espace en 2 parties : les espaces servis et servants. Ils s’organisent sous deux larges pans de toit inclinés qui viennent dynamiser les espaces intérieurs. D’un point de vue extérieur, ils créent un mouvement qui suit celui de la Dyle, délimitent des espaces et viennent intégrer l’architecture dans son environnement.
Aux abords du bâtiment se trouvent de grands bacs végétaux qui amènent l’utilisateur jusqu’à l’accueil extérieur, puis à l’atelier de réparation de vélo autonome. On retrouve ensuite un passage extérieur qui mène à la terrasse en surplomb de l’eau, ainsi qu’à une rampe d’accès à la rivière. L’enchainement de ces espaces crée une continuité et vient implanter l’architecture au terrain avec la rampe, tout en donnant une impression de légèreté grâce aux espaces en surplomb.
Il était également nécessaire de prendre en compte la durabilité et la biodiversité. Pour cela, j’ai opté pour l’utilisation du bois, avec une structure portante ainsi que des revêtements en bois. De plus, j’ai souhaité redynamiser la biodiversité avec les bacs végétaux qui permettent un « laisser faire », ainsi que des hôtels à insectes sur la façade est.