APQ10 - Projet de fin d'études
Hugues Sirault (coord.), Emmanuelle Gobbe, Gregory Mahy, Virginie Pigeon
L’atelier 10 invite les étudiant·es à explorer les paysages nécessaires à concevoir, construire et à gérer à l’horizon 2050. Le choix du site de projet du PFE est libre. En revanche, la nécessité du paysage et la nécessité de l’action du paysagiste doivent être argumentées au regard des urgences auxquelles nos sociétés contemporaines doivent répondre.
Revoir fondamentalement notre mobilité et nos déplacements est devenu un enjeu majeur, notamment en termes d’adaptation aux changements climatiques, contre l’étalement urbain et pour un meilleur partage de ce patrimoine commun que sont les espaces publics. Ces profonds changements sociétaux auront des répercussions aussi bien dans les zones urbaines, que périurbaines et rurales.
En zone urbaine et davantage en zone périurbaine, les voiries représentent la grande majorité des espaces publics. À plus grande échelle, les grands axes de mobilité traversent le territoire et les paysages, mais leurs formes actuelles y sont souvent étrangères à l’exception du dialogue visuel et de connexions physiques fonctionnelles. Que deviendront ces infrastructures demain si elles ne font pas l’objet d’une réflexion globale qui posera les jalons du paysage de demain ?
La rue, la route, l’avenue, le boulevard, la place publique, le périphérique, la nationale, l’autoroute, ... vont et doivent évoluer an de répondre adéquatement aux enjeux auxquels nos sociétés sont confrontées. Comment l’architecte du paysage, en s’appuyant sur sa formation pluridisciplinaire peut-il contribuer à la construction de ces nouveaux paysages ?
APQ10 - Projet de fin d'études
Hugues Sirault (coord.), Emmanuelle Gobbe, Gregory Mahy, Virginie Pigeon
L’atelier 10 invite les étudiant·es à explorer les paysages nécessaires à concevoir, construire et à gérer à l’horizon 2050. Le choix du site de projet du PFE est libre. En revanche, la nécessité du paysage et la nécessité de l’action du paysagiste doivent être argumentées au regard des urgences auxquelles nos sociétés contemporaines doivent répondre.
Revoir fondamentalement notre mobilité et nos déplacements est devenu un enjeu majeur, notamment en termes d’adaptation aux changements climatiques, contre l’étalement urbain et pour un meilleur partage de ce patrimoine commun que sont les espaces publics. Ces profonds changements sociétaux auront des répercussions aussi bien dans les zones urbaines, que périurbaines et rurales.
En zone urbaine et davantage en zone périurbaine, les voiries représentent la grande majorité des espaces publics. À plus grande échelle, les grands axes de mobilité traversent le territoire et les paysages, mais leurs formes actuelles y sont souvent étrangères à l’exception du dialogue visuel et de connexions physiques fonctionnelles. Que deviendront ces infrastructures demain si elles ne font pas l’objet d’une réflexion globale qui posera les jalons du paysage de demain ?
La rue, la route, l’avenue, le boulevard, la place publique, le périphérique, la nationale, l’autoroute, ... vont et doivent évoluer an de répondre adéquatement aux enjeux auxquels nos sociétés sont confrontées. Comment l’architecte du paysage, en s’appuyant sur sa formation pluridisciplinaire peut-il contribuer à la construction de ces nouveaux paysages ?