APQ7 - Paysager 1
Sebastien Heuss (coord.), Julie Martineau, Cedric Vermeulen
L'Atelier de Master 1, au premier quadrimestre (Q7), a pour objectif de plonger les étudiant·es dans la complexité d’un territoire urbain, notamment à travers le prisme de la diversité de ses acteurs, pour ensuite y apporter des réponses paysagères concrètes autour des thématiques de la ville inclusive et de l’urgence climatique.
Suivant un programme bisannuel, l’atelier interroge les qualités paysagères des campus bruxellois d’enseignement, sous l’angle de l’acception originelle du terme « campus » comme une figure paysagère principale de parc formant l’épine dorsale du site, support à l’éducation. Cette première année a été consacrée au campus Ceria – Coovi, à Anderlecht. Mastodonte moderniste et unitaire de l’après-guerre, mis à mal par la logique individualiste des extensions, la scission linguistique et la fermeture progressive aux infrastructures et quartiers voisins. Deux tours symboliques, qui aujourd’hui se défient, soulignant les visions propres à chaque génération.
A l’initiative de la Haute Ecole Lucia De Brouckère (section AJP) établie sur le site, l’objectif fut de développer un masterplan paysager du campus. En groupe, les étudiant·es ont été amenés à déceler les aménités des espaces ouverts de ce morceau de ville pour qu’ils en constituent la figure principale de développement. A travers le questionnement de ses articulations, de la porosité de ses limites, de son rayonnement et de ses mutations, chaque étudiant·e a développé un projet individuel comme exemple de réponse aux enjeux de mixité, de renforcement des qualités environnementales et de résilience face aux changements climatiques, en prenant en compte la diversité des regards selon les différentes parties prenantes.
APQ7 - Paysager 1
Sebastien Heuss (coord.), Julie Martineau, Cedric Vermeulen
L'Atelier de Master 1, au premier quadrimestre (Q7), a pour objectif de plonger les étudiant·es dans la complexité d’un territoire urbain, notamment à travers le prisme de la diversité de ses acteurs, pour ensuite y apporter des réponses paysagères concrètes autour des thématiques de la ville inclusive et de l’urgence climatique.
Suivant un programme bisannuel, l’atelier interroge les qualités paysagères des campus bruxellois d’enseignement, sous l’angle de l’acception originelle du terme « campus » comme une figure paysagère principale de parc formant l’épine dorsale du site, support à l’éducation. Cette première année a été consacrée au campus Ceria – Coovi, à Anderlecht. Mastodonte moderniste et unitaire de l’après-guerre, mis à mal par la logique individualiste des extensions, la scission linguistique et la fermeture progressive aux infrastructures et quartiers voisins. Deux tours symboliques, qui aujourd’hui se défient, soulignant les visions propres à chaque génération.
A l’initiative de la Haute Ecole Lucia De Brouckère (section AJP) établie sur le site, l’objectif fut de développer un masterplan paysager du campus. En groupe, les étudiant·es ont été amenés à déceler les aménités des espaces ouverts de ce morceau de ville pour qu’ils en constituent la figure principale de développement. A travers le questionnement de ses articulations, de la porosité de ses limites, de son rayonnement et de ses mutations, chaque étudiant·e a développé un projet individuel comme exemple de réponse aux enjeux de mixité, de renforcement des qualités environnementales et de résilience face aux changements climatiques, en prenant en compte la diversité des regards selon les différentes parties prenantes.