Pavillon sonore
Catherine Yang
BA1 (Maud De Rijck, Caroline Roure)
Le projet doit permettre à ses usagers de se séparer de leur vie citadine en écoutant les sons de la forêt de Soignes. Disposées à des lieux choisis pour leurs paysages sonores, les interventions offrent des degrés de solitude différents de manière à ce que chacun puisse apprécier le « silence ».
Ce pavillon éclaté se trouve autour du ruisseau à une cinquantaine de mètres de l’hippodrome, ce qui le rend accessible sans être affecté par le bruit de l’Avenue Franklin Roosevelt et de la Chaussée de la Hulpe.
Les abris acoustiques sont des feuilles d’acier irrégulières soutenues par de longs piliers (les « antennes ») qui amplifient le son de la pluie, des feuilles mortes, du vent et des oiseaux.
Les observatoires sonores donnent la possibilité aux promeneurs de s’asseoir ou s’allonger pour être confrontés au ciel et au bruissement des feuilles, au gargouillement agréable du ruisseau, au chant des oiseaux…
Présentation générale du projet avec l’implantation par rapport à l’hippodrome
Une journée d’été, les promeneurs sont nombreux et se reposent à proximité du chemin et du ruisseau, l’abri fait résonner le son des pas sur les cailloux et les enfants crient joyeusement.
En hiver, le poids de la neige empêche le métal de vibrer et donne une sensation de silence sourd.
La solitude un jour de beau temps pour se sentir petit comparé aux arbres.
Un jour de pluie, on se protège en écoutant les gouttes qui tombent et font résonner l’abri.
Un plan d’implantation sommaire pour comprendre les degrés d’isolement et d’éloignement au ruisseau.
Recherches sur l’ergonomie : le confort du corps permet de déplacer l’attention vers les autres sens.
Pavillon sonore
Catherine Yang
BA1 (Maud De Rijck, Caroline Roure)
Présentation générale du projet avec l’implantation par rapport à l’hippodrome
Une journée d’été, les promeneurs sont nombreux et se reposent à proximité du chemin et du ruisseau, l’abri fait résonner le son des pas sur les cailloux et les enfants crient joyeusement.
En hiver, le poids de la neige empêche le métal de vibrer et donne une sensation de silence sourd.
La solitude un jour de beau temps pour se sentir petit comparé aux arbres.
Un jour de pluie, on se protège en écoutant les gouttes qui tombent et font résonner l’abri.
Un plan d’implantation sommaire pour comprendre les degrés d’isolement et d’éloignement au ruisseau.
Recherches sur l’ergonomie : le confort du corps permet de déplacer l’attention vers les autres sens.
Le projet doit permettre à ses usagers de se séparer de leur vie citadine en écoutant les sons de la forêt de Soignes. Disposées à des lieux choisis pour leurs paysages sonores, les interventions offrent des degrés de solitude différents de manière à ce que chacun puisse apprécier le « silence ».
Ce pavillon éclaté se trouve autour du ruisseau à une cinquantaine de mètres de l’hippodrome, ce qui le rend accessible sans être affecté par le bruit de l’Avenue Franklin Roosevelt et de la Chaussée de la Hulpe.
Les abris acoustiques sont des feuilles d’acier irrégulières soutenues par de longs piliers (les « antennes ») qui amplifient le son de la pluie, des feuilles mortes, du vent et des oiseaux.
Les observatoires sonores donnent la possibilité aux promeneurs de s’asseoir ou s’allonger pour être confrontés au ciel et au bruissement des feuilles, au gargouillement agréable du ruisseau, au chant des oiseaux…