Rubigo Atrium
Manon Marchand
BA1 (Carlo Gonçalves, François Vliebergh)
Lieu de rencontres singulières, où les éléments se confrontent. Ce projet a été initié par la création d’une fiction, un récit où des liens se sont tissés entre des éléments de la nature. A partir de ces liens/monades que nous avons développé, il est ressorti des points forts tel que la déstabilisation, l’instabilité, la forte proximité, la porosité et l’attirance. Avec des photos de la forêt mises en communs, nous avons pu établir un lieu, que nous avons créer à partir des éléments collectés. Il nous a permis de développer notre projet.
Basé sur l’idée d’une topographie qui entraîne une succession de rencontres entre éléments, mon projet met en avant une structure intemporelle, immuable, installée dans un lieu en perpétuelle évolution. La verticalité permet de s’immerger dans le bâtiment en ayant un indice sur la profondeur. L’entrée est discrète, mystérieuse, elle ne permet en aucun cas de savoir de quoi est composé l’intérieur. La circulation est possible pour seulement quelques personnes, comme un lieu intimiste pour des privilégiés. Situé entre deux pentes, le creux fait naître une cassure de part et d’autre du bâtiment, elle permet de laisser passer un faisceau de lumière, comme une dernière relation à l’extérieur. De plus, cette cassure, lors de précipitations permet à l’eau de pénétrer et continuer à s’écouler sans être dérangée par la présence du bâtiment. Il est plus qu’éphémère, il est immergé dans le paysage, et n’a aucun ancrage sur le sol.
Le matériau met en évidence cette idée de temporalité. En effet, l’air et les précipitations vont au fil du temps transformer l’acier qui va s’oxyder, et créer une nuance de couleurs rouillées, semblable au sol de la forêt. Les visiteurs vont donc pouvoir observer les changements du bâtiment similaires aux changements de son environnement.
Un pavillon qui permet de se délecter de la confrontation de la nature à l’architecture.
Rubigo Atrium
Manon Marchand
BA1 (Carlo Gonçalves, François Vliebergh)
Lieu de rencontres singulières, où les éléments se confrontent. Ce projet a été initié par la création d’une fiction, un récit où des liens se sont tissés entre des éléments de la nature. A partir de ces liens/monades que nous avons développé, il est ressorti des points forts tel que la déstabilisation, l’instabilité, la forte proximité, la porosité et l’attirance. Avec des photos de la forêt mises en communs, nous avons pu établir un lieu, que nous avons créer à partir des éléments collectés. Il nous a permis de développer notre projet.
Basé sur l’idée d’une topographie qui entraîne une succession de rencontres entre éléments, mon projet met en avant une structure intemporelle, immuable, installée dans un lieu en perpétuelle évolution. La verticalité permet de s’immerger dans le bâtiment en ayant un indice sur la profondeur. L’entrée est discrète, mystérieuse, elle ne permet en aucun cas de savoir de quoi est composé l’intérieur. La circulation est possible pour seulement quelques personnes, comme un lieu intimiste pour des privilégiés. Situé entre deux pentes, le creux fait naître une cassure de part et d’autre du bâtiment, elle permet de laisser passer un faisceau de lumière, comme une dernière relation à l’extérieur. De plus, cette cassure, lors de précipitations permet à l’eau de pénétrer et continuer à s’écouler sans être dérangée par la présence du bâtiment. Il est plus qu’éphémère, il est immergé dans le paysage, et n’a aucun ancrage sur le sol.
Le matériau met en évidence cette idée de temporalité. En effet, l’air et les précipitations vont au fil du temps transformer l’acier qui va s’oxyder, et créer une nuance de couleurs rouillées, semblable au sol de la forêt. Les visiteurs vont donc pouvoir observer les changements du bâtiment similaires aux changements de son environnement.
Un pavillon qui permet de se délecter de la confrontation de la nature à l’architecture.