Kirsten Anaky
BA1
Loin d’être un simple parc, le site de projet à la particularité d’être une île. Dès la première visite, l’endroit m'a marqué par son caractère secret, calme, paisible, presque figé: son petit étang surplombé d’un pont en fer, ses multiples entrées et ses nombreux arbres. Au milieu de cette ville animée et rythmée par ses habitants et leurs différentes activités, ce parc offre une sorte de parenthèse, le brouhaha des habitants est remplacé par le son de la Dyle et des oiseaux. Le projet a pour objectif de conserver voire d’accentuer tous ces éléments et de tirer parti du caractère insulaire du site, en créant sur cette « île » des architectures qui se distinguent nettement, rompant délibérément avec l’identité architecturale existante. S'inspirant des folies du parc de la Villette de Bernard Tschumi, on y retrouvera ainsi non pas un ou deux bâtiments contenant un programme, mais plutôt un ensemble de petites architectures aux formes et aux couleurs surprenantes: des rectangles de 10 m de long et 5 m de large, placé suivant la forme allongée du parc et le courant de la Dyle, ce point commun entre toutes ces constructions donnent une régularité à l’ensemble.
Les 300 mètres carré demandés sont donc explosés en micro-architectures de 50 mètres carrés au sol chacune. On retrouve un restaurant au cœur du parc, lieu de rencontre et de partage. À proximité se trouve une salle d’événement, une salle de conférence, une bibliothèque et un belvédère. Les deux logements (un deux personnes et un studio) sont placés stratégiquement de sorte à être chacun à proximité proche des habitations déjà présentes sur le site, en périphérie du parc.
Avec ses bâtiments, l’usager est amené à parcourir le parc, à se laisser surprendre par l’architecture et les couleurs, les étudiants peuvent manger au restaurant le midi, les résidents alentours peuvent se retrouver dans la salle de fête, la salle de conférence peut accueillir les intervenants de l’université, le promeneur solitaire peut monter les marches du belvédère et admirer la vue, emprunter un livre à la bibliothèque et se plonger dedans en intérieur ou s'il fait beau en extérieur. L’architecture s’éveille au rythme des usages.
Kirsten Anaky
BA1
Loin d’être un simple parc, le site de projet à la particularité d’être une île. Dès la première visite, l’endroit m'a marqué par son caractère secret, calme, paisible, presque figé: son petit étang surplombé d’un pont en fer, ses multiples entrées et ses nombreux arbres. Au milieu de cette ville animée et rythmée par ses habitants et leurs différentes activités, ce parc offre une sorte de parenthèse, le brouhaha des habitants est remplacé par le son de la Dyle et des oiseaux. Le projet a pour objectif de conserver voire d’accentuer tous ces éléments et de tirer parti du caractère insulaire du site, en créant sur cette « île » des architectures qui se distinguent nettement, rompant délibérément avec l’identité architecturale existante. S'inspirant des folies du parc de la Villette de Bernard Tschumi, on y retrouvera ainsi non pas un ou deux bâtiments contenant un programme, mais plutôt un ensemble de petites architectures aux formes et aux couleurs surprenantes: des rectangles de 10 m de long et 5 m de large, placé suivant la forme allongée du parc et le courant de la Dyle, ce point commun entre toutes ces constructions donnent une régularité à l’ensemble.
Les 300 mètres carré demandés sont donc explosés en micro-architectures de 50 mètres carrés au sol chacune. On retrouve un restaurant au cœur du parc, lieu de rencontre et de partage. À proximité se trouve une salle d’événement, une salle de conférence, une bibliothèque et un belvédère. Les deux logements (un deux personnes et un studio) sont placés stratégiquement de sorte à être chacun à proximité proche des habitations déjà présentes sur le site, en périphérie du parc.
Avec ses bâtiments, l’usager est amené à parcourir le parc, à se laisser surprendre par l’architecture et les couleurs, les étudiants peuvent manger au restaurant le midi, les résidents alentours peuvent se retrouver dans la salle de fête, la salle de conférence peut accueillir les intervenants de l’université, le promeneur solitaire peut monter les marches du belvédère et admirer la vue, emprunter un livre à la bibliothèque et se plonger dedans en intérieur ou s'il fait beau en extérieur. L’architecture s’éveille au rythme des usages.