Le paysage de la forêt de Soignes est un lieu unique pour la ville de Bruxelles. Plus grande zone naturelle de la région, elle revêt des fonctions écosystémiques, récréatives et productives.
Hêtres centenaires, vallons, étangs, clairières,... forment un paysage étrange et majestueux. Cependant, depuis plusieurs années elle est placée sous le signe de la lutte contre le morcellement et les recherches actuelles mettent en avant des problèmes de vieillissement des arbres. Au vu des ces constats d’appauvrissement des écosystèmes et des questions climatiques à l’échelle mondiale, la question du devenir de la forêt de Soignes devient un enjeu majeur.
Les étudiants ont été amenés à élaborer une narration autour d’une pratique sensible aux problèmes de la forêt. En établissant un diagnostic critique du site de l’hippodrome de Boitsfort, le projet devait formuler une hypothèse radicale d’implantation. Les étudiants devaient proposer une réflexion sur le caractère temporaire de l’architecture proposée. Une attention particulière a été apportée aux dispositifs spatiaux, aux modes constructifs et à la matérialité afin d’assurer la cohérence du projet par rapport aux besoins du scénario développé et aux questions de temporalité.
Le projet Roots-Wide-Web propose l’implantation d’un laboratoire dédié à l’étude des réseaux de racines mycorhiziens des arbres. Un grande zone circulaire d’observation du sol est définie par une structure métallique légère et démontable. Par son positionnement dans la pente et sa structure sur pilotis, l’espace d’observation reste accessible et permet la continuité des réseaux sous-terrains observés. Au nord, face aux chemins, le cercle est tronqué pour accueillir le laboratoire. Sa configuration en longueur est rythmée par des modules de rangement qui structurent une succession d’espaces flexibles et perméables. Un jeu de rideaux permet une intimisation des espaces ou à l’inverse, une ouverture sur le contexte. Le laboratoire devient alors la « vitrine » des recherches novatrices qu’il mènent. La modularité de la structure permet son itinérance et donc la possibilité d’observer plusieurs zones forestières successives.
Le paysage de la forêt de Soignes est un lieu unique pour la ville de Bruxelles. Plus grande zone naturelle de la région, elle revêt des fonctions écosystémiques, récréatives et productives.
Hêtres centenaires, vallons, étangs, clairières,... forment un paysage étrange et majestueux. Cependant, depuis plusieurs années elle est placée sous le signe de la lutte contre le morcellement et les recherches actuelles mettent en avant des problèmes de vieillissement des arbres. Au vu des ces constats d’appauvrissement des écosystèmes et des questions climatiques à l’échelle mondiale, la question du devenir de la forêt de Soignes devient un enjeu majeur.
Les étudiants ont été amenés à élaborer une narration autour d’une pratique sensible aux problèmes de la forêt. En établissant un diagnostic critique du site de l’hippodrome de Boitsfort, le projet devait formuler une hypothèse radicale d’implantation. Les étudiants devaient proposer une réflexion sur le caractère temporaire de l’architecture proposée. Une attention particulière a été apportée aux dispositifs spatiaux, aux modes constructifs et à la matérialité afin d’assurer la cohérence du projet par rapport aux besoins du scénario développé et aux questions de temporalité.
Le projet Roots-Wide-Web propose l’implantation d’un laboratoire dédié à l’étude des réseaux de racines mycorhiziens des arbres. Un grande zone circulaire d’observation du sol est définie par une structure métallique légère et démontable. Par son positionnement dans la pente et sa structure sur pilotis, l’espace d’observation reste accessible et permet la continuité des réseaux sous-terrains observés. Au nord, face aux chemins, le cercle est tronqué pour accueillir le laboratoire. Sa configuration en longueur est rythmée par des modules de rangement qui structurent une succession d’espaces flexibles et perméables. Un jeu de rideaux permet une intimisation des espaces ou à l’inverse, une ouverture sur le contexte. Le laboratoire devient alors la « vitrine » des recherches novatrices qu’il mènent. La modularité de la structure permet son itinérance et donc la possibilité d’observer plusieurs zones forestières successives.