Malo Linard
BA1
Pour cet exercice du deuxième quadrimestre 2023, nous étions en voyage dans la périphérie de Malines, une petite ville un peu plus au nord de Bruxelles. Une zone, à la confluence de la Dyle composée de 5 parcelles différentes au choix, avait été identifiée pour l’implantation de notre projet. Un cahier des charges comprenant les éléments essentiels du projet (accueil, logements, restauration, architecture durable…) nous avait été fourni et nous devions, en choisissant une activité au cœur du projet, le respecter.
Ce qui m’a frappé à Malines c’est le nombre important de cyclistes et le peu d’infrastructures associées, c’est pourquoi j’ai choisi d’élaborer un projet qui réponde au mieux à cette problématique.
Premièrement, j’ai choisi de m’implanter sur une parcelle au plus près de la piste cyclable, très fine et au bord de la Dyle. L’enjeu ici est donc de faire un lien architectural entre la piste et la Dyle tout en y apportant le confort nécessaire pour les cyclistes (élargissement de la piste). Une plateforme en porte-à- faux au-dessus de l’eau vient apporter l’espace pour y construire le projet en agrandissant la piste sans oublier de végétaliser le lieu et de respecter la faune et la flore aquatique par l’absence de pilotis notamment.
Ensuite, le bâtiment sur une plateforme assez stable et robuste se veut beaucoup plus léger et démontable dans le futur. Cette forme en deux mouvements permet d’abord de libérer l’espace pour un parvis d’entrée, de créer deux zones à fonctions différentes et surtout d’offrir le maximum de vues sur les alentours. L’accueil central vient créer subtilement la séparation entre les espaces publics (espaces restauration, bar, terrasse et espaces de repos) et privés (escaliers pour monter aux logements, locaux à vélos fermés pour ceux qui veulent y passer la nuit).
A l’étage, le volume des logements (dortoirs, suites) est placé en décalé de manière à libérer la double hauteur pour les parties publiques du rez-de-chaussée mais également couvrir l’entrée principale.
Les vitres sur l’entièreté du bâtiment viennent apporter cette légèreté recherchée tout en y apportant les vues et la luminosité nécessaires. Les murs porteurs seraient en ossatures bois remplies de paille compacte en guise d’isolant.
Ce projet est venu clôturer une première année pendant laquelle nous avons abordé la majorité des notions essentielles d’un projet d’architecture, en y apportant la liberté de création que l’on avait moins eu au premier quadrimestre.
Malo Linard
BA1
Pour cet exercice du deuxième quadrimestre 2023, nous étions en voyage dans la périphérie de Malines, une petite ville un peu plus au nord de Bruxelles. Une zone, à la confluence de la Dyle composée de 5 parcelles différentes au choix, avait été identifiée pour l’implantation de notre projet. Un cahier des charges comprenant les éléments essentiels du projet (accueil, logements, restauration, architecture durable…) nous avait été fourni et nous devions, en choisissant une activité au cœur du projet, le respecter.
Ce qui m’a frappé à Malines c’est le nombre important de cyclistes et le peu d’infrastructures associées, c’est pourquoi j’ai choisi d’élaborer un projet qui réponde au mieux à cette problématique.
Premièrement, j’ai choisi de m’implanter sur une parcelle au plus près de la piste cyclable, très fine et au bord de la Dyle. L’enjeu ici est donc de faire un lien architectural entre la piste et la Dyle tout en y apportant le confort nécessaire pour les cyclistes (élargissement de la piste). Une plateforme en porte-à- faux au-dessus de l’eau vient apporter l’espace pour y construire le projet en agrandissant la piste sans oublier de végétaliser le lieu et de respecter la faune et la flore aquatique par l’absence de pilotis notamment.
Ensuite, le bâtiment sur une plateforme assez stable et robuste se veut beaucoup plus léger et démontable dans le futur. Cette forme en deux mouvements permet d’abord de libérer l’espace pour un parvis d’entrée, de créer deux zones à fonctions différentes et surtout d’offrir le maximum de vues sur les alentours. L’accueil central vient créer subtilement la séparation entre les espaces publics (espaces restauration, bar, terrasse et espaces de repos) et privés (escaliers pour monter aux logements, locaux à vélos fermés pour ceux qui veulent y passer la nuit).
A l’étage, le volume des logements (dortoirs, suites) est placé en décalé de manière à libérer la double hauteur pour les parties publiques du rez-de-chaussée mais également couvrir l’entrée principale.
Les vitres sur l’entièreté du bâtiment viennent apporter cette légèreté recherchée tout en y apportant les vues et la luminosité nécessaires. Les murs porteurs seraient en ossatures bois remplies de paille compacte en guise d’isolant.
Ce projet est venu clôturer une première année pendant laquelle nous avons abordé la majorité des notions essentielles d’un projet d’architecture, en y apportant la liberté de création que l’on avait moins eu au premier quadrimestre.