Manon Lobstein
BA1
Pour ce projet, j’ai décidé de faire une halte pour les cyclistes située à Malines qui est une ville où l’on se déplace beaucoup à vélo. Je me suis inspiré de plusieurs projets de ce genre comme à Feel Viana au Portugal.
Nous avions plusieurs parcelles au choix et j’ai choisi la mienne par rapport à son orientation, ses vues et sa proximité avec l’eau et la piste cyclable. Je me suis implanté au bord de la piste cyclable pour créer un contact avec la route et inviter le passant à y rentrer. De plus c’est un bâtiment public et je trouvais nécessaire qu’il puisse être bien perçu sur le site.
Mes intentions principales sont l’implantation comme dit précédemment, la spatialité et les vues qu’offrent le projet.
Pour la spatialité je suis parti sur deux corps de bâtiments dont l’un est centré sur le cyclisme avec un atelier vélo qui est la pièce majeure et un local à vélo privé pour les clients qui restent la nuit. Une autre partie plus publique avec plus de vie offre un restaurant ouvert à tout public, une cuisine partagée à l’étage pour une atmosphère chaleureuse et une inspiration au partage. Je me suis inspiré du Coffee Ride à Stavelot en Belgique où l’on retrouve un espace convivial, d’échanges et de partage entre les clients et c’est ce que je voulais apporter dans mon projet.
Les chambres sont ouvertes sur le paysage pour créer un contact avec la nature ; elles sont articulées autour d’un couloir qui nous amène à une loggia qui va amener le visiteur à regarder la vue face à lui.
Pour les vues, la forme de ces deux corps a évolué pour amener à celle qui ouvre un angle de vue sur le canal de Dyle, un axe sud-est qui est pour moi la meilleure vue.
Les deux corps sont reliés par une cour au cœur du projet qui dessert les deux bâtiments et une terrasse relie les deux corps et offre une vue panoramique sur la Dyle.
J’ai joué avec ces deux corps, avec leur forme et leur matérialité. Ils sont complémentaires, on dirait qu’ils s’emboitent, l’un est en porte- à- faux et apporte de la légèreté, à l’inverse de l’autre. Les matériaux sont aussi différents, entre structure béton et bardage en bois, un contraste entre massivité et légèreté.
Pour conclure, ce contraste va permettre de mettre en valeur mon bâtiment. On a deux corps complémentaires qui sont organisés autour d’une cour qui ouvre sur un angle de vue spécifique.
Manon Lobstein
BA1
Pour ce projet, j’ai décidé de faire une halte pour les cyclistes située à Malines qui est une ville où l’on se déplace beaucoup à vélo. Je me suis inspiré de plusieurs projets de ce genre comme à Feel Viana au Portugal.
Nous avions plusieurs parcelles au choix et j’ai choisi la mienne par rapport à son orientation, ses vues et sa proximité avec l’eau et la piste cyclable. Je me suis implanté au bord de la piste cyclable pour créer un contact avec la route et inviter le passant à y rentrer. De plus c’est un bâtiment public et je trouvais nécessaire qu’il puisse être bien perçu sur le site.
Mes intentions principales sont l’implantation comme dit précédemment, la spatialité et les vues qu’offrent le projet.
Pour la spatialité je suis parti sur deux corps de bâtiments dont l’un est centré sur le cyclisme avec un atelier vélo qui est la pièce majeure et un local à vélo privé pour les clients qui restent la nuit. Une autre partie plus publique avec plus de vie offre un restaurant ouvert à tout public, une cuisine partagée à l’étage pour une atmosphère chaleureuse et une inspiration au partage. Je me suis inspiré du Coffee Ride à Stavelot en Belgique où l’on retrouve un espace convivial, d’échanges et de partage entre les clients et c’est ce que je voulais apporter dans mon projet.
Les chambres sont ouvertes sur le paysage pour créer un contact avec la nature ; elles sont articulées autour d’un couloir qui nous amène à une loggia qui va amener le visiteur à regarder la vue face à lui.
Pour les vues, la forme de ces deux corps a évolué pour amener à celle qui ouvre un angle de vue sur le canal de Dyle, un axe sud-est qui est pour moi la meilleure vue.
Les deux corps sont reliés par une cour au cœur du projet qui dessert les deux bâtiments et une terrasse relie les deux corps et offre une vue panoramique sur la Dyle.
J’ai joué avec ces deux corps, avec leur forme et leur matérialité. Ils sont complémentaires, on dirait qu’ils s’emboitent, l’un est en porte- à- faux et apporte de la légèreté, à l’inverse de l’autre. Les matériaux sont aussi différents, entre structure béton et bardage en bois, un contraste entre massivité et légèreté.
Pour conclure, ce contraste va permettre de mettre en valeur mon bâtiment. On a deux corps complémentaires qui sont organisés autour d’une cour qui ouvre sur un angle de vue spécifique.