Une voix de mobilité douce
Un raccourci spontané traverse la friche de Ganshoren entre les 2 ronds-points. Un chemin tortueux qui coupe un ilot urbain de très (trop) grande échelle et qui constitue un obstacle à la mobilité urbaine. Le projet propose de transformer ce chemin en un axe de mobilité douce.
Des clairières de loisirs dans une topographie
Le paysage de la friche est complexe, la densité végétale est variable, parfois infranchissable. Il révèle aussi des clairières qui deviennent des opportunités spatiales. Le programme est alors fragmenté et articulé sur ces espaces qui deviennent des satellites de l’axe de mobilité. Chaque clairière est singulière et présente des qualités topographiques différentes que le projet tend à révéler.
Une mise en valeur du paysage
Les fonctions programmatiques d’accueil et de salle communautaire prennent place sur les hauteurs de la parcelle où on retrouve un terrain en pente, pas très dense en végétation. Dans le bas de la parcelle, on trouve, dans un creux de topographie avec une végétation très dense l’espace dédié au bain avec la piscine au centre. Autour, on retrouve d’un côté les vestiaires non-isolés, et de l’autre la cafétéria.
Un programme fragmenté en blocs
Des sols, des blocs de fonctions, des toitures qui ont une identité formelle et matérielle propre, se positionnent dans la topographie pour fabriquer des espaces aux qualités spécifiques. Les formes très géométriques du projet contrastent avec l’organicité de la friche végétale. Les toitures débordantes dont l’épaisseur est volontairement surjouée surplombent les différents blocs de fonctions maçonné, qui sont eux-mêmes détachés des murs de soutènement, ce qui permet de créer d’autres espaces entre intérieur et extérieur, tantôt couvert ou simplement défini par le sol en dalles de pierre bleu.
Des espaces supplémentaires pour un projet innovant
Les accès aux espaces se font à partir de la voie de mobilité douce avec une promenade par des chemins secondaires qui arrivent jusqu’aux clairières. Le futur développement de la friche végétale pourrait s’articuler autour de cette voix. Le projet propose de prolonger la programmation dans deux clairières situées plus bas, un espace dédié au sport comprenant des terrains sportifs, et un autre espace dédié aux loisirs en gardant le parc à chiens existant et en ajoutant des structures de jeux pour les enfants.
Une voix de mobilité douce
Un raccourci spontané traverse la friche de Ganshoren entre les 2 ronds-points. Un chemin tortueux qui coupe un ilot urbain de très (trop) grande échelle et qui constitue un obstacle à la mobilité urbaine. Le projet propose de transformer ce chemin en un axe de mobilité douce.
Des clairières de loisirs dans une topographie
Le paysage de la friche est complexe, la densité végétale est variable, parfois infranchissable. Il révèle aussi des clairières qui deviennent des opportunités spatiales. Le programme est alors fragmenté et articulé sur ces espaces qui deviennent des satellites de l’axe de mobilité. Chaque clairière est singulière et présente des qualités topographiques différentes que le projet tend à révéler.
Une mise en valeur du paysage
Les fonctions programmatiques d’accueil et de salle communautaire prennent place sur les hauteurs de la parcelle où on retrouve un terrain en pente, pas très dense en végétation. Dans le bas de la parcelle, on trouve, dans un creux de topographie avec une végétation très dense l’espace dédié au bain avec la piscine au centre. Autour, on retrouve d’un côté les vestiaires non-isolés, et de l’autre la cafétéria.
Un programme fragmenté en blocs
Des sols, des blocs de fonctions, des toitures qui ont une identité formelle et matérielle propre, se positionnent dans la topographie pour fabriquer des espaces aux qualités spécifiques. Les formes très géométriques du projet contrastent avec l’organicité de la friche végétale. Les toitures débordantes dont l’épaisseur est volontairement surjouée surplombent les différents blocs de fonctions maçonné, qui sont eux-mêmes détachés des murs de soutènement, ce qui permet de créer d’autres espaces entre intérieur et extérieur, tantôt couvert ou simplement défini par le sol en dalles de pierre bleu.
Des espaces supplémentaires pour un projet innovant
Les accès aux espaces se font à partir de la voie de mobilité douce avec une promenade par des chemins secondaires qui arrivent jusqu’aux clairières. Le futur développement de la friche végétale pourrait s’articuler autour de cette voix. Le projet propose de prolonger la programmation dans deux clairières situées plus bas, un espace dédié au sport comprenant des terrains sportifs, et un autre espace dédié aux loisirs en gardant le parc à chiens existant et en ajoutant des structures de jeux pour les enfants.