Francis Bryon, Ambroise Cail, Mateo Rodriguez Forero
BA2
Le projet du centre sportif et culturel de la Senne a pour objectif de proposer aux habitants de Schaerbeek un lieu de rencontre en rendant le plus accessible possible le sport et la culture. Le projet aspire à être un outil de cohésion sociale dans un quartier très diversifié où l’esprit de quartier peine à se faire ressentir. Pour pallier à ce problème, nous avons mis en place divers dispositifs.
Le premier objectif est de libérer de l’espace public à l’extérieur, grâce à la compacité et l’implantation du bâtiment. Celle-ci respecte la typologie du quartier en fermant la rue Jolly, tout en laissant de l’espace libre en cœur d’îlot grâce à l’ouverture vers le parc de la Senne longeant la parcelle. Cet espace est pensé comme un lieu où l’on peut s’arrêter et prendre le temps, en complémentarité avec le parc qui fonctionne davantage comme un lieu de passage. On y retrouve des modules végétalisés et un grand espace laissé libre fonctionnant comme une place publique, orienté vers un mur qui laisse envisager de nombreux scénarios d’utilisation. Ces différentes propositions facilitent l’appropriation des habitants et créent des espaces propices à évoluer au fil du temps, des saisons, des initiatives.
L’organisation intérieure est régie par une trame dictée par le rythme de la structure. A l’instar de l’extérieur du bâtiment, tout est pensé afin de favoriser la rencontre et les échanges. Tous les usages s’articulent autour du foyer, espace de rencontre principal qui fonctionne comme le cœur du bâtiment. Les salles culturelles permettent aussi l’appropriation par les habitants du quartier, puisque les surfaces et volumes assez différents des deux salles permettent d’envisager de nombreux scénarios. Les connexions visuelles sont aussi maximisées grâce aux différences de niveau entre les usages ainsi que les facades intérieures et extérieures vitrées ; les usagers peuvent voir et être vus dans tout le bâtiment et depuis l’extérieur.
L’expression du bâtiment se fait par la structure en bois lamellé collé, notamment par la forme des poutres et des colonnes. Les façades sont animées par un jeu de trames verticales dictées par la structure principale. Les panneaux de lattes en bois qui remplissent cette trame permettent un contrôle de l’apport de lumière, ainsi qu’un cadrage sur le terrain de sport qui devient comme un tableau visible depuis la rue et le parc, grâce à la transparence rendue possible par le vitrage de chaque côté du bâtiment.
Francis Bryon, Ambroise Cail, Mateo Rodriguez Forero
BA2
Le projet du centre sportif et culturel de la Senne a pour objectif de proposer aux habitants de Schaerbeek un lieu de rencontre en rendant le plus accessible possible le sport et la culture. Le projet aspire à être un outil de cohésion sociale dans un quartier très diversifié où l’esprit de quartier peine à se faire ressentir. Pour pallier à ce problème, nous avons mis en place divers dispositifs.
Le premier objectif est de libérer de l’espace public à l’extérieur, grâce à la compacité et l’implantation du bâtiment. Celle-ci respecte la typologie du quartier en fermant la rue Jolly, tout en laissant de l’espace libre en cœur d’îlot grâce à l’ouverture vers le parc de la Senne longeant la parcelle. Cet espace est pensé comme un lieu où l’on peut s’arrêter et prendre le temps, en complémentarité avec le parc qui fonctionne davantage comme un lieu de passage. On y retrouve des modules végétalisés et un grand espace laissé libre fonctionnant comme une place publique, orienté vers un mur qui laisse envisager de nombreux scénarios d’utilisation. Ces différentes propositions facilitent l’appropriation des habitants et créent des espaces propices à évoluer au fil du temps, des saisons, des initiatives.
L’organisation intérieure est régie par une trame dictée par le rythme de la structure. A l’instar de l’extérieur du bâtiment, tout est pensé afin de favoriser la rencontre et les échanges. Tous les usages s’articulent autour du foyer, espace de rencontre principal qui fonctionne comme le cœur du bâtiment. Les salles culturelles permettent aussi l’appropriation par les habitants du quartier, puisque les surfaces et volumes assez différents des deux salles permettent d’envisager de nombreux scénarios. Les connexions visuelles sont aussi maximisées grâce aux différences de niveau entre les usages ainsi que les facades intérieures et extérieures vitrées ; les usagers peuvent voir et être vus dans tout le bâtiment et depuis l’extérieur.
L’expression du bâtiment se fait par la structure en bois lamellé collé, notamment par la forme des poutres et des colonnes. Les façades sont animées par un jeu de trames verticales dictées par la structure principale. Les panneaux de lattes en bois qui remplissent cette trame permettent un contrôle de l’apport de lumière, ainsi qu’un cadrage sur le terrain de sport qui devient comme un tableau visible depuis la rue et le parc, grâce à la transparence rendue possible par le vitrage de chaque côté du bâtiment.