Romeo Costa, Imane Lemaire
BA2
Notre proposition de centre sportif et culturel se situe dans le quartier nord-ouest de Bruxelles, identifié comme sous-équipé en infrastructures collectives. L’enjeu principal est donc de répondre aux besoins socioculturels et sportifs des habitants du quartier.
Le projet s’implante plus précisément sur le site de la ferme du parc Maximilien. Cette ferme est sur le point de déménager, et le parc Maximilien s’étendra davantage vers le centre-ville. L’implantation du projet a été pensée afin de préserver la continuité du parc et de conserver l’existant, c’est-à-dire les arbres, les chemins, et les bâtiments de la ferme.
Les principales intentions du projet étaient de travailler avec cet existant et avec le concept d’hybridité. Il était important de comprendre cet existant et sa place dans le quartier afin de l’intégrer au mieux dans le projet.
Conserver cet existant ne signifie pas seulement préserver les bâtiments, mais aussi maintenir leur rôle dans le quartier. En d’autres termes, il s’agit d’en faire un lieu de rencontre pour les habitants, avec une possibilité d’appropriation de l’espace, notamment via l’aménagement de la toiture ou l’utilisation de mobilier modulaire.
Il y a également une volonté de distinction en tant qu’élément hétérogène dans un environnement plutôt homogène. Cette singularité le rend d’autant plus attractif pour les habitants du quartier.
Du point de vue de la composition, le projet repose sur le concept d’hybridité. L’existant est intégré en superposant différents codes architecturaux, tels que la répétition et l’idée de nappe, ainsi que diverses matérialités, créant ainsi une composition plus complexe et diversifiée.
Le projet est composé d’un pôle culturel, abrité par une répétition du bâtiment existant, et de nouveaux volumes, un bloc sanitaire et une salle de gymnastique. Le tout est recouvert d’une dalle accessible via un escalier extérieur, c’est un espace public.
Cette dalle est percée par une toiture existante dont la charpente a été retravaillé pour permettre une appropriation en haut, via des marches et un apport de lumières en bas, avec des contremarches translucides. D’autre percements sont effectués, pour la circulation et pour un apport de lumière naturelle avec des canons a lumière.
La structure du projet est hybride : les nouveaux volumes sont construits en brique de terre crue, la dalle de béton est soutenue par des colonnes en béton et la salle omnisport a une structure indépendante en bois.
Romeo Costa, Imane Lemaire
BA2
Notre proposition de centre sportif et culturel se situe dans le quartier nord-ouest de Bruxelles, identifié comme sous-équipé en infrastructures collectives. L’enjeu principal est donc de répondre aux besoins socioculturels et sportifs des habitants du quartier.
Le projet s’implante plus précisément sur le site de la ferme du parc Maximilien. Cette ferme est sur le point de déménager, et le parc Maximilien s’étendra davantage vers le centre-ville. L’implantation du projet a été pensée afin de préserver la continuité du parc et de conserver l’existant, c’est-à-dire les arbres, les chemins, et les bâtiments de la ferme.
Les principales intentions du projet étaient de travailler avec cet existant et avec le concept d’hybridité. Il était important de comprendre cet existant et sa place dans le quartier afin de l’intégrer au mieux dans le projet.
Conserver cet existant ne signifie pas seulement préserver les bâtiments, mais aussi maintenir leur rôle dans le quartier. En d’autres termes, il s’agit d’en faire un lieu de rencontre pour les habitants, avec une possibilité d’appropriation de l’espace, notamment via l’aménagement de la toiture ou l’utilisation de mobilier modulaire.
Il y a également une volonté de distinction en tant qu’élément hétérogène dans un environnement plutôt homogène. Cette singularité le rend d’autant plus attractif pour les habitants du quartier.
Du point de vue de la composition, le projet repose sur le concept d’hybridité. L’existant est intégré en superposant différents codes architecturaux, tels que la répétition et l’idée de nappe, ainsi que diverses matérialités, créant ainsi une composition plus complexe et diversifiée.
Le projet est composé d’un pôle culturel, abrité par une répétition du bâtiment existant, et de nouveaux volumes, un bloc sanitaire et une salle de gymnastique. Le tout est recouvert d’une dalle accessible via un escalier extérieur, c’est un espace public.
Cette dalle est percée par une toiture existante dont la charpente a été retravaillé pour permettre une appropriation en haut, via des marches et un apport de lumières en bas, avec des contremarches translucides. D’autre percements sont effectués, pour la circulation et pour un apport de lumière naturelle avec des canons a lumière.
La structure du projet est hybride : les nouveaux volumes sont construits en brique de terre crue, la dalle de béton est soutenue par des colonnes en béton et la salle omnisport a une structure indépendante en bois.