Le point de départ de ce projet sur le site en friche de Ganshoren a été une volonté de préserver un maximum cet espace vert dans le tissu urbain de la commune. Première envie qui a vite été confrontée à celle d’y implanter un équipement publique... Le choix de « La piscine radieuse » comme nom pour la proposition n’est pas anodin. Il fait référence à l’unité d’habitation du même nom réalisée par Le Corbusier et qui, de par son implantation et cette forte volonté de vouloir faire vivre ensemble ces habitants en leur proposant une toiture habitée comme espace publique par excellence, a été une réelle source d’inspiration.
Inscrit linéairement dans l’axe de l’avenue de Villegas et s’étirant jusqu’aux limites de la parcelle attribuée, le projet présente en plan une ligne forte. Radicale, au premier abord, j’ai essayé ensuite d’y apporter la poésie nécessaire afin d’en faire un réel lieu de cohésion sociale sur ce site verdoyant.
Le projet, en plus de se situer dans l’axe qui vient reconnecter la ville à l’espace publique du parc, délimite aussi 2 univers : la végétation du site laissée dans son état naturel d’une part, le passage déjà existant, utilisé fréquemment par les usagers du site et situé le long de l’école voisine avec laquelle une porosité pourrait être envisagée, de l’autre.
La piscine, élément fort du programme, se trouve en toiture. Cette dernière est supportée par un ensemble d’éléments structurels regroupés et de formes variables selon les fonctions qu’ils abritent. Également centrés, ces éléments porteurs permettent de libérer l’enveloppe du projet. Les espaces créés par l’agencement de ceux-ci ont été pensé dans le but d’offrir des espaces aux multiples possibilités d’aménagement, afin d’accueillir les fonctions plus évolutives du programme (lieu d’exposition, restaurant de quartier, terrasse extérieure, lieu d’accueil au publique…).
Le point de départ de ce projet sur le site en friche de Ganshoren a été une volonté de préserver un maximum cet espace vert dans le tissu urbain de la commune. Première envie qui a vite été confrontée à celle d’y implanter un équipement publique... Le choix de « La piscine radieuse » comme nom pour la proposition n’est pas anodin. Il fait référence à l’unité d’habitation du même nom réalisée par Le Corbusier et qui, de par son implantation et cette forte volonté de vouloir faire vivre ensemble ces habitants en leur proposant une toiture habitée comme espace publique par excellence, a été une réelle source d’inspiration.
Inscrit linéairement dans l’axe de l’avenue de Villegas et s’étirant jusqu’aux limites de la parcelle attribuée, le projet présente en plan une ligne forte. Radicale, au premier abord, j’ai essayé ensuite d’y apporter la poésie nécessaire afin d’en faire un réel lieu de cohésion sociale sur ce site verdoyant.
Le projet, en plus de se situer dans l’axe qui vient reconnecter la ville à l’espace publique du parc, délimite aussi 2 univers : la végétation du site laissée dans son état naturel d’une part, le passage déjà existant, utilisé fréquemment par les usagers du site et situé le long de l’école voisine avec laquelle une porosité pourrait être envisagée, de l’autre.
La piscine, élément fort du programme, se trouve en toiture. Cette dernière est supportée par un ensemble d’éléments structurels regroupés et de formes variables selon les fonctions qu’ils abritent. Également centrés, ces éléments porteurs permettent de libérer l’enveloppe du projet. Les espaces créés par l’agencement de ceux-ci ont été pensé dans le but d’offrir des espaces aux multiples possibilités d’aménagement, afin d’accueillir les fonctions plus évolutives du programme (lieu d’exposition, restaurant de quartier, terrasse extérieure, lieu d’accueil au publique…).