Situé dans un quartier d’habitation dans la commune de Forest, le projet a pour objectif d’apporter et de créer du mouvement ainsi que des échanges culturels entre les résidents, les jeunes talents et les artistes.
On reconnait un contexte plutôt en retrait sur la ville avec un îlot qui prend racine sur une rue principale assez fréquentée par les transports en commun et qui se finit dans une impasse longeant une ligne de chemin de fer. Le projet vient ainsi clôturer cet îlot.
L’intention principale de mon projet est de générer des liens visuels entre les différents niveaux. Ainsi, les espaces de travail se constituent en fonction des espaces de détente en créant un jeu de ricochet entre les fonctions. Ceci va générer des poches de vides, véritables réceptacles à la création de liens sociaux et d’échanges culturels. Ces espaces dialoguent entre eux par des vues traversantes reliées par une circulation verticale. La perméabilité visuelle est une clé importante du projet.
Le bâtiment, point final de la perspective de rue, se dissout dans le paysage en finissant l’ilôt par un volume massif ; son mitoyen plein rue Jean Preckher devient ainsi l’étendard du bâtiment. Le caractère de cette maison des talents se joue dans la transparence entre les lieux d’échanges et les espaces de productions. On retrouve ainsi une gradation du public visé en ayant une salle de spectacle semi-enterrée visible depuis la rue et en remontant graduellement vers des espaces privatisés.
D’autre part, il fut aussi question d’organiser un contraste entre les volumes spécifiques et les espaces d’échanges qui se caractérise par la massivité du matériau utilisé. En effet, la dualité entre la massivité de la brique et la légèreté du verre permet d’indiquer la nature des espaces. Sa façade, assez massive, agit finalement comme une peau extérieure qui vient envelopper le projet.
Situé dans un quartier d’habitation dans la commune de Forest, le projet a pour objectif d’apporter et de créer du mouvement ainsi que des échanges culturels entre les résidents, les jeunes talents et les artistes.
On reconnait un contexte plutôt en retrait sur la ville avec un îlot qui prend racine sur une rue principale assez fréquentée par les transports en commun et qui se finit dans une impasse longeant une ligne de chemin de fer. Le projet vient ainsi clôturer cet îlot.
L’intention principale de mon projet est de générer des liens visuels entre les différents niveaux. Ainsi, les espaces de travail se constituent en fonction des espaces de détente en créant un jeu de ricochet entre les fonctions. Ceci va générer des poches de vides, véritables réceptacles à la création de liens sociaux et d’échanges culturels. Ces espaces dialoguent entre eux par des vues traversantes reliées par une circulation verticale. La perméabilité visuelle est une clé importante du projet.
Le bâtiment, point final de la perspective de rue, se dissout dans le paysage en finissant l’ilôt par un volume massif ; son mitoyen plein rue Jean Preckher devient ainsi l’étendard du bâtiment. Le caractère de cette maison des talents se joue dans la transparence entre les lieux d’échanges et les espaces de productions. On retrouve ainsi une gradation du public visé en ayant une salle de spectacle semi-enterrée visible depuis la rue et en remontant graduellement vers des espaces privatisés.
D’autre part, il fut aussi question d’organiser un contraste entre les volumes spécifiques et les espaces d’échanges qui se caractérise par la massivité du matériau utilisé. En effet, la dualité entre la massivité de la brique et la légèreté du verre permet d’indiquer la nature des espaces. Sa façade, assez massive, agit finalement comme une peau extérieure qui vient envelopper le projet.