Une enclave naturelle dans la ville…
Sandra Willems
BA2
Le site en friche de Ganshoren présente de multiples particularités. D’une part, il est régulièrement traversé par les habitants de la commune laissant ainsi avec le temps des chemins tracés et d’autre part, il est un passage progressif entre la ville et le parc. Ainsi, depuis ses prémices, le projet se veut être le reflet de la parcelle, traversant et servant de transition entre l’urbain et la nature.
La réflexion autour de ces principes de conception est passé par le choix d’une référence, le « Sport Pavilion and Classroom Complexe » d’Alberto Campo Baeza. Ce projet assure la cohabitation de deux programmes, l’école et le pavillon sportif, dans un seul ensemble. La connexion se fait au niveau de la toiture d’un bâtiment bas qui sert de patio communicant.
L’ensemble de ces réflexions ont abouti à un équipement public entre ville et nature :
En plan, Le projet prend la forme de 2 blocs distincts connectés par un passage traversant le site. L’ensemble se veut être hermétique sur ses côtés créant ainsi une enceinte percée qui plonge les usagers dans un ailleurs. Le passage sert d’extension aux deux bâtiments et accueille ainsi une partie de la cafétaria et de l’espace public (exposition en pleine air, concert, etc.). Il devient donc un espace médian et animé aux multiples possibilités d’usages. La transition douce entre ville et nature est permise par la longueur du projet ainsi que la transparence des bâtiments. Enfin la piscine, espace majeur de l’équipement public, se trouve en fin de parcelle ouverte sur un espace vert renforcé par un lagunage.
En élévation, Les façades centrales s’ouvrent généreusement pour assurer la communication entre les différents éléments (rue, passage, nature, etc.). Les façades latérales, davantage graphiques, entretiennent une relation particulière avec le contexte de par leurs rares ouvertures. Le choix du pisé comme matériau incarne parfaitement l’idée d’un bâtiment massif sur ses cotés tout en entretenant un dialogue subtil avec la nature retravaillée d’apparence sauvage à la manière de Piet Oudolf.
Le tout forme un lieu de divertissements et de rencontres isolé de la ville par une enceinte dont la matérialité crée une cohésion avec la nature avoisinante.
Une enclave naturelle dans la ville…
Sandra Willems
BA2
Le site en friche de Ganshoren présente de multiples particularités. D’une part, il est régulièrement traversé par les habitants de la commune laissant ainsi avec le temps des chemins tracés et d’autre part, il est un passage progressif entre la ville et le parc. Ainsi, depuis ses prémices, le projet se veut être le reflet de la parcelle, traversant et servant de transition entre l’urbain et la nature.
La réflexion autour de ces principes de conception est passé par le choix d’une référence, le « Sport Pavilion and Classroom Complexe » d’Alberto Campo Baeza. Ce projet assure la cohabitation de deux programmes, l’école et le pavillon sportif, dans un seul ensemble. La connexion se fait au niveau de la toiture d’un bâtiment bas qui sert de patio communicant.
L’ensemble de ces réflexions ont abouti à un équipement public entre ville et nature :
En plan, Le projet prend la forme de 2 blocs distincts connectés par un passage traversant le site. L’ensemble se veut être hermétique sur ses côtés créant ainsi une enceinte percée qui plonge les usagers dans un ailleurs. Le passage sert d’extension aux deux bâtiments et accueille ainsi une partie de la cafétaria et de l’espace public (exposition en pleine air, concert, etc.). Il devient donc un espace médian et animé aux multiples possibilités d’usages. La transition douce entre ville et nature est permise par la longueur du projet ainsi que la transparence des bâtiments. Enfin la piscine, espace majeur de l’équipement public, se trouve en fin de parcelle ouverte sur un espace vert renforcé par un lagunage.
En élévation, Les façades centrales s’ouvrent généreusement pour assurer la communication entre les différents éléments (rue, passage, nature, etc.). Les façades latérales, davantage graphiques, entretiennent une relation particulière avec le contexte de par leurs rares ouvertures. Le choix du pisé comme matériau incarne parfaitement l’idée d’un bâtiment massif sur ses cotés tout en entretenant un dialogue subtil avec la nature retravaillée d’apparence sauvage à la manière de Piet Oudolf.
Le tout forme un lieu de divertissements et de rencontres isolé de la ville par une enceinte dont la matérialité crée une cohésion avec la nature avoisinante.