Celia De Bleecker
BA3
Le site du « bois habité » s’implante à Lille. Il est une prolongation d’Euralille, d’où le nom qui lui est parfois donné : « Euralille 2 ». C’est un contexte dense que l’on trouve autour du site. Diverses fonctions y sont regroupées : bureaux, logements, crèches, hôtels…
L’intention urbanistique du projet prévoit de créer une respiration dans ce tissu urbain pour offrir aux habitants du quartier un espace de rencontre. Une serre est implantée sur cet espace. Elle offre des services à la communauté et favorise les rencontres, les échanges…
Un cohabitat vient s’implanter près de cette respiration et possède une empreinte au sol relativement faible. L’idée est de se développer verticalement pour libérer l’espace au sol. Cela est rendu possible, car le projet est en accord avec les hauteurs des bâtiments l’entourant. Les bâtiments aux alentours ne sont pas des logements, mais des bureaux.
Dans la tour de logement, une attention particulière est portée à la circulation et au chemin que prend chaque personne se rendre dans son logement. Le bâtiment possède 2 cohabitats superposés. Chaque cohabitat possède en son centre un espace commun important. L’idée est d’inciter les gens à prendre l’ascenseur pour rejoindre cet espace. De là, une circulation plus douce permet de monter ou de descendre pour atteindre son logement. Il est clair que personne ne monte 5, 7 ou 10 étages à pied, mais ce principe permet de ramener la rencontre et l’échange au sein de la tour.
Tous les espaces communs du cohabitat sont orientés principalement vers l’espace minéral extérieur crée. Des logements viennent ensuite prendre place tout autour de la circulation. Le cohabitat possède des logements avec des typologies différentes. Les logements 1 chambre sont conçus avec un noyau central et une circulation en boucle pour créer une dynamique dans le logement.
Celia De Bleecker
BA3
Le site du « bois habité » s’implante à Lille. Il est une prolongation d’Euralille, d’où le nom qui lui est parfois donné : « Euralille 2 ». C’est un contexte dense que l’on trouve autour du site. Diverses fonctions y sont regroupées : bureaux, logements, crèches, hôtels…
L’intention urbanistique du projet prévoit de créer une respiration dans ce tissu urbain pour offrir aux habitants du quartier un espace de rencontre. Une serre est implantée sur cet espace. Elle offre des services à la communauté et favorise les rencontres, les échanges…
Un cohabitat vient s’implanter près de cette respiration et possède une empreinte au sol relativement faible. L’idée est de se développer verticalement pour libérer l’espace au sol. Cela est rendu possible, car le projet est en accord avec les hauteurs des bâtiments l’entourant. Les bâtiments aux alentours ne sont pas des logements, mais des bureaux.
Dans la tour de logement, une attention particulière est portée à la circulation et au chemin que prend chaque personne se rendre dans son logement. Le bâtiment possède 2 cohabitats superposés. Chaque cohabitat possède en son centre un espace commun important. L’idée est d’inciter les gens à prendre l’ascenseur pour rejoindre cet espace. De là, une circulation plus douce permet de monter ou de descendre pour atteindre son logement. Il est clair que personne ne monte 5, 7 ou 10 étages à pied, mais ce principe permet de ramener la rencontre et l’échange au sein de la tour.
Tous les espaces communs du cohabitat sont orientés principalement vers l’espace minéral extérieur crée. Des logements viennent ensuite prendre place tout autour de la circulation. Le cohabitat possède des logements avec des typologies différentes. Les logements 1 chambre sont conçus avec un noyau central et une circulation en boucle pour créer une dynamique dans le logement.