Lors de la phase de groupe précédente, le quartier labyrinthique de Pandreijtje à Bruges, a été repensé afin d’en faire un ensemble de plusieurs cohabitâts. Le projet se localise au centre de la parcelle étudiée, en bordure des jardins mitoyens. De part et d’autre du bâtiment, se situent deux places publiques au cœur de ce quartier de cohabitâts.
Le rez-de-chaussée s’ouvre largement puisqu’il est dédié uniquement aux espaces communs, tandis que les niveaux supérieurs sont fermés pour garantir l’intimité des espaces de nuit.
Le patio central amène de la lumière jusqu’au centre et offre une vue de vis-à-vis depuis les étages vers les espaces communs. L’absence de cloison à ce niveau accentue son aspect collectif puisque les usagers d’un espace commun ont vue sur ceux d’une autre partie commune.
Pour atteindre les étages supérieurs privatifs, l’on emprunte un escalier à claire-voie en croix qui débouche immédiatement sur l’espace privé. Son accession demeure néanmoins collective puisque deux personnes parcourant leur escalier respectif se croisent pour parvenir à leur habitation.
Le projet de cette cohabitation consiste dans l’exploitation d’un chais de viticulture urbain. Le développement du projet nécessite la conjugaison de différents talents et compétences comme la communication et l’événementiel, le commercial, mais aussi la collaboration d’œnologues, de cavistes, des livreurs à domicile… résidant tous dans le cohabitât.
À l’intérieur des logements privés, la circulation s’opère autour de blocs sanitaires fermés ce qui accentue le confort dans les espaces relativement limités et rappelle la topologie labyrinthique de l’ensemble du site.
Les espaces privatifs sont conçus de manière très dense et ne comprennent que des pièces destinées à l’usage exclusif de son occupant (chambre, salle-de-bains), tous les espaces conviviaux étant strictement localisés au rez-de-chaussée commun. Ceci permet un équilibre des surfaces dédiées aux usages privés et communs et une utilisation systématique et stimulée des parties communes.
Ainsi, la conception du bâtiment contribue à renforcer la cohésion du groupe autour du projet viticole.
Lors de la phase de groupe précédente, le quartier labyrinthique de Pandreijtje à Bruges, a été repensé afin d’en faire un ensemble de plusieurs cohabitâts. Le projet se localise au centre de la parcelle étudiée, en bordure des jardins mitoyens. De part et d’autre du bâtiment, se situent deux places publiques au cœur de ce quartier de cohabitâts.
Le rez-de-chaussée s’ouvre largement puisqu’il est dédié uniquement aux espaces communs, tandis que les niveaux supérieurs sont fermés pour garantir l’intimité des espaces de nuit.
Le patio central amène de la lumière jusqu’au centre et offre une vue de vis-à-vis depuis les étages vers les espaces communs. L’absence de cloison à ce niveau accentue son aspect collectif puisque les usagers d’un espace commun ont vue sur ceux d’une autre partie commune.
Pour atteindre les étages supérieurs privatifs, l’on emprunte un escalier à claire-voie en croix qui débouche immédiatement sur l’espace privé. Son accession demeure néanmoins collective puisque deux personnes parcourant leur escalier respectif se croisent pour parvenir à leur habitation.
Le projet de cette cohabitation consiste dans l’exploitation d’un chais de viticulture urbain. Le développement du projet nécessite la conjugaison de différents talents et compétences comme la communication et l’événementiel, le commercial, mais aussi la collaboration d’œnologues, de cavistes, des livreurs à domicile… résidant tous dans le cohabitât.
À l’intérieur des logements privés, la circulation s’opère autour de blocs sanitaires fermés ce qui accentue le confort dans les espaces relativement limités et rappelle la topologie labyrinthique de l’ensemble du site.
Les espaces privatifs sont conçus de manière très dense et ne comprennent que des pièces destinées à l’usage exclusif de son occupant (chambre, salle-de-bains), tous les espaces conviviaux étant strictement localisés au rez-de-chaussée commun. Ceci permet un équilibre des surfaces dédiées aux usages privés et communs et une utilisation systématique et stimulée des parties communes.
Ainsi, la conception du bâtiment contribue à renforcer la cohésion du groupe autour du projet viticole.