Projet d'Architecture du Paysage - Bachelier 1
Carine Jacques, Grégory Mahy, Benoît Saint Amand, Anne-Marie Sauvat, Christine Sommeillier, Valérie Vanvynck
A l’heure du réchauffement climatique, les fondamentaux et la pratique des architectes paysagistes se sont enrichis des aspects environnementaux attachés aux milieux vivants qui constituent la base de l’expression du paysage. Le paysagiste d’aujourd’hui doit s’inscrire dans les mutations et les grands enjeux de nos sociétés actuelles en s’appuyant sur une bonne connaissance des contextes culturels, historiques et humains.
Les fils conducteurs de l’atelier du 1er quadrimestre sont la perception, l’espace-temps-échelle, et la mesure de corps.
Trois exercices/projets sont développés au cours du quadrimestre, dont les objectifs pédagogiques sont les suivants :
- Développer une meilleure compréhension de l’Espace /Temps / Echelle
- Amener les étudiants à prendre conscience de leur corps et de sa relation à l’espace
- Encourager et démontrer l’efficacité de l’appréhension de l’espace par le corps
- Mettre en avant le dessin comme outil de perception d’un espace
- Apprendre à lire et à comprendre les composantes d’un paysage :
Le premier exercice vise à amener les étudiants à prendre conscience de la DUALITE entre le factuel/objectif et le ressenti/subjectif et porte sur l’élaboration d’un carnet de vocabulaire des voiries urbaines.
Il a été demandé aux étudiants :
Le vivant est au centre de la réflexion de l’atelier du Q2 ainsi que sa relation à l’homme. Les trois dimensions spatiales sont abordées ainsi que la temporalité d’un projet (passé, présent, futur). Cette notion est essentielle dès que l’on parle de paysage puisqu’il est en constante évolution.
Le site étudié lors de ce quadrimestre, le parc de la Dyle à Genappe, a été choisi de manière à amener les étudiants à développer un projet où le vivant est prédominant en s’appuyant sur une analyse du lieu. Le site présente, en effet, un large potentiel de par la présence d’un étang, d’une zone boisée, du Ravel et du centre ville.
Les étudiants ont été amenés au travers de cet exercice à :
Projet d'Architecture du Paysage - Bachelier 1
Carine Jacques, Grégory Mahy, Benoît Saint Amand, Anne-Marie Sauvat, Christine Sommeillier, Valérie Vanvynck
A l’heure du réchauffement climatique, les fondamentaux et la pratique des architectes paysagistes se sont enrichis des aspects environnementaux attachés aux milieux vivants qui constituent la base de l’expression du paysage. Le paysagiste d’aujourd’hui doit s’inscrire dans les mutations et les grands enjeux de nos sociétés actuelles en s’appuyant sur une bonne connaissance des contextes culturels, historiques et humains.
Les fils conducteurs de l’atelier du 1er quadrimestre sont la perception, l’espace-temps-échelle, et la mesure de corps.
Trois exercices/projets sont développés au cours du quadrimestre, dont les objectifs pédagogiques sont les suivants :
- Développer une meilleure compréhension de l’Espace /Temps / Echelle
- Amener les étudiants à prendre conscience de leur corps et de sa relation à l’espace
- Encourager et démontrer l’efficacité de l’appréhension de l’espace par le corps
- Mettre en avant le dessin comme outil de perception d’un espace
- Apprendre à lire et à comprendre les composantes d’un paysage :
Le premier exercice vise à amener les étudiants à prendre conscience de la DUALITE entre le factuel/objectif et le ressenti/subjectif et porte sur l’élaboration d’un carnet de vocabulaire des voiries urbaines.
Il a été demandé aux étudiants :
Le vivant est au centre de la réflexion de l’atelier du Q2 ainsi que sa relation à l’homme. Les trois dimensions spatiales sont abordées ainsi que la temporalité d’un projet (passé, présent, futur). Cette notion est essentielle dès que l’on parle de paysage puisqu’il est en constante évolution.
Le site étudié lors de ce quadrimestre, le parc de la Dyle à Genappe, a été choisi de manière à amener les étudiants à développer un projet où le vivant est prédominant en s’appuyant sur une analyse du lieu. Le site présente, en effet, un large potentiel de par la présence d’un étang, d’une zone boisée, du Ravel et du centre ville.
Les étudiants ont été amenés au travers de cet exercice à :