Projet d'Architecture du Paysage - Bachelier 2
Q3 - Hubert Lionnez, Christoph Menzel, Christine Sommelier
Q4 - Jan Bogaert, Carine Jacques, Harold Strammer, Jean-Marc Sterno
L'atelier Q3 est lié à l'étude de sites en milieu urbain à Bruxelles. Nous observons le milieu diversifié de la ville d'aujourd'hui et nous analysons les éléments qui composent ce milieu urbain, ainsi que leur cohérence, puis élaborons des pistes de développement pour les sites en question.
En 2021/22 nous avons travaillé sur la Place Stephenson et le nouveau parc du quartier. Comment adapter l'espace public aux enjeux actuels ? Le changement climatique, la cohésion sociale et la question de l'utilité de l'espace public ont été discutés. Sur base d'une analyse profonde et large, les étudiant(e)s ont identifié les conflits et potentiels du milieu en question.
Elles/ils ont ensuite individuellement proposé des projets pour le site en question avec des pistes de développement à long terme.
La pédagogie de l’atelier Q4 propose une méthode d’approche par et pour le projet. Questionner le paysage au travers des outils de production diversifiés et appropriés à des questions vives d’ordre sociétal, social et historique.
C’est instruire à l’étudiant de devenir acteur de son apprentissage, de chercher, de comprendre, d’inventer, de cultiver, d’expérimenter, d’observer et de communiquer, en vue de se définir comme futur architecte du paysage.
L’atelier, valeur essentielle à la pédagogie poursuivie, constitue le terrain expérimental aux tâtonnements, à l’autoévaluation, à la découverte de nouvelles techniques d’expression libre comme les récits, les lexiques, les références bibliographiques.
L’atelier comme espace de collaborations, d’échanges, de participation, d’intuitions et de découvertes.
Le projet est inscrit dans l’acte de faire
Le projet est formé par l’acte de faire
“Le projet de paysage, ce serait alors ceci: créer quelque chose qui était déjà là.
La situation intellectuelle du paysagiste est paradoxale. En effet, il s’agit de fabriquer, d’élaborer ce qui est déjà présent et qu’on ne voit pas. On doit construire pour voir ce qui est là, pour découvrir ce qui est là, on doit tracer pour savoir ce que l’on veut et ce que l’on veut dessiner. La logique du projet est la logique de l’oeuvre. Son critère n’est pas la vérité mais bien plutôt la pertinence (…)
Autrement dit, le projet invente un territoire en le représentant et en le décrivant. Mais cette invention est d’une nature singulière: car ce qui est inventé est en même temps présent dans le territoire, mais comme non vu et non su jusqu’alors.”
“Le Goût du monde – exercices de paysage “ - Jean-Marc Besse 2009
La question (2022) :
Comment faire école par un projet de paysage
en écho à un lieu, des rencontres et une méthode ?
ouLa quête de l’idéal en projet de paysage …
Nous poursuivons les réflexions entamées au sujet de la ligne 141 et la Dyle entre Nivelles et Ottignies et la collaboration avec l’école à pédagogie participative Nespa à Genappes.
Cette année, plus particulièrement la pédagogie active de Célestin Freinet :
C’est quoi un jardin ?
C’est quoi le paysage du jardin de Célestin F. ?
A qui s’adresse-t-il ?
Où est-il idéalement planté ?
Comment se matérialise-t-il ?
Projet d'Architecture du Paysage - Bachelier 2
Q3 - Hubert Lionnez, Christoph Menzel, Christine Sommelier
Q4 - Jan Bogaert, Carine Jacques, Harold Strammer, Jean-Marc Sterno
L'atelier Q3 est lié à l'étude de sites en milieu urbain à Bruxelles. Nous observons le milieu diversifié de la ville d'aujourd'hui et nous analysons les éléments qui composent ce milieu urbain, ainsi que leur cohérence, puis élaborons des pistes de développement pour les sites en question.
En 2021/22 nous avons travaillé sur la Place Stephenson et le nouveau parc du quartier. Comment adapter l'espace public aux enjeux actuels ? Le changement climatique, la cohésion sociale et la question de l'utilité de l'espace public ont été discutés. Sur base d'une analyse profonde et large, les étudiant(e)s ont identifié les conflits et potentiels du milieu en question.
Elles/ils ont ensuite individuellement proposé des projets pour le site en question avec des pistes de développement à long terme.
La pédagogie de l’atelier Q4 propose une méthode d’approche par et pour le projet. Questionner le paysage au travers des outils de production diversifiés et appropriés à des questions vives d’ordre sociétal, social et historique.
C’est instruire à l’étudiant de devenir acteur de son apprentissage, de chercher, de comprendre, d’inventer, de cultiver, d’expérimenter, d’observer et de communiquer, en vue de se définir comme futur architecte du paysage.
L’atelier, valeur essentielle à la pédagogie poursuivie, constitue le terrain expérimental aux tâtonnements, à l’autoévaluation, à la découverte de nouvelles techniques d’expression libre comme les récits, les lexiques, les références bibliographiques.
L’atelier comme espace de collaborations, d’échanges, de participation, d’intuitions et de découvertes.
Le projet est inscrit dans l’acte de faire
Le projet est formé par l’acte de faire
“Le projet de paysage, ce serait alors ceci: créer quelque chose qui était déjà là.
La situation intellectuelle du paysagiste est paradoxale. En effet, il s’agit de fabriquer, d’élaborer ce qui est déjà présent et qu’on ne voit pas. On doit construire pour voir ce qui est là, pour découvrir ce qui est là, on doit tracer pour savoir ce que l’on veut et ce que l’on veut dessiner. La logique du projet est la logique de l’oeuvre. Son critère n’est pas la vérité mais bien plutôt la pertinence (…)
Autrement dit, le projet invente un territoire en le représentant et en le décrivant. Mais cette invention est d’une nature singulière: car ce qui est inventé est en même temps présent dans le territoire, mais comme non vu et non su jusqu’alors.”
“Le Goût du monde – exercices de paysage “ - Jean-Marc Besse 2009
La question (2022) :
Comment faire école par un projet de paysage
en écho à un lieu, des rencontres et une méthode ?
ouLa quête de l’idéal en projet de paysage …
Nous poursuivons les réflexions entamées au sujet de la ligne 141 et la Dyle entre Nivelles et Ottignies et la collaboration avec l’école à pédagogie participative Nespa à Genappes.
Cette année, plus particulièrement la pédagogie active de Célestin Freinet :
C’est quoi un jardin ?
C’est quoi le paysage du jardin de Célestin F. ?
A qui s’adresse-t-il ?
Où est-il idéalement planté ?
Comment se matérialise-t-il ?