Iakovos Sierifis
commun·e
En reprenant les granulats locaux et territoriaux (le terril comme un poumon vert, les champs comme une continuité paysagère, le pôle universitaire avec son parking de grande surface comme une discontinuité urbaine, la place de la Duchère avec son ancien axe disparu), on perçoit le site comme un carrefour qui pourrait entremêler les trames, paysagère et urbaine, et donner du sens et de l’importance à la vie locale et sociale.
Le projet du parc habité sera un lien plutôt qu’une frontière entre le quartier et le pôle universitaire. Un complexe mixte de logements communautaires d’étudiants qui ont des familles en intime relation avec des espaces publics et collectifs. Le site sera préparé en suivant les stratégies suivantes : déminéralisation du parking de la HeLHa par son déplacement, introduction de mobilité douce avec le vélodrome futur et la prolongation de l’axe de la place de la Duchère, optimisation des parkings, réaffectation du hangar et proposition d’une crèche.
La morphologie des blocs résidentiels crée un dialogue avec l’architecture existante. Au niveau du sol, la surface verte homogène accueillera les gens de tous les côtés, encourageant des liens entre les habitants de chaque bloc, entre tous les résidents du parc habité et aussi entre les externes par des différents espaces et des services communs et/ou publics de chaque bloc. Les logements seront presque entièrement construits par du bois lamellé croisé et plusieurs typologies sont proposées pour les besoins évolutifs des familles avec leurs différents statuts. La taille et la forme des couloirs distributifs aux étages encouragent des relations sociales et son appropriation par les habitants.
Une réponse au problème vicieux pour un potentiel qui favorise le commun. Vers un site socialement résilient qui répond aux enjeux de son époque et qui reste toujours sensible à la mémoire de son lieu et à la vie locale qui l’anime.
Iakovos Sierifis
commun·e
En reprenant les granulats locaux et territoriaux (le terril comme un poumon vert, les champs comme une continuité paysagère, le pôle universitaire avec son parking de grande surface comme une discontinuité urbaine, la place de la Duchère avec son ancien axe disparu), on perçoit le site comme un carrefour qui pourrait entremêler les trames, paysagère et urbaine, et donner du sens et de l’importance à la vie locale et sociale.
Le projet du parc habité sera un lien plutôt qu’une frontière entre le quartier et le pôle universitaire. Un complexe mixte de logements communautaires d’étudiants qui ont des familles en intime relation avec des espaces publics et collectifs. Le site sera préparé en suivant les stratégies suivantes : déminéralisation du parking de la HeLHa par son déplacement, introduction de mobilité douce avec le vélodrome futur et la prolongation de l’axe de la place de la Duchère, optimisation des parkings, réaffectation du hangar et proposition d’une crèche.
La morphologie des blocs résidentiels crée un dialogue avec l’architecture existante. Au niveau du sol, la surface verte homogène accueillera les gens de tous les côtés, encourageant des liens entre les habitants de chaque bloc, entre tous les résidents du parc habité et aussi entre les externes par des différents espaces et des services communs et/ou publics de chaque bloc. Les logements seront presque entièrement construits par du bois lamellé croisé et plusieurs typologies sont proposées pour les besoins évolutifs des familles avec leurs différents statuts. La taille et la forme des couloirs distributifs aux étages encouragent des relations sociales et son appropriation par les habitants.
Une réponse au problème vicieux pour un potentiel qui favorise le commun. Vers un site socialement résilient qui répond aux enjeux de son époque et qui reste toujours sensible à la mémoire de son lieu et à la vie locale qui l’anime.