Loges
Gaston Demoulin, Yaé Faye
CUMA
Notre recherche du premier semestre tente de mettre en relation les lieux de loisirs liés à l’eau et leur position géographique dans la vallée de la Vesdre. Étangs, bassins, réservoirs, piscines, s’implantaient sur des positions stratégiques pour profiter des avantages topographiques et d’accès à l’eau naturelle. Cependant, l’eau devient accessible à tous et les exigences sanitaires s’accentuent. Malgré leur caractère social, les piscines publiques perdent de leur importance, tandis que la démocratisation de l’eau conduit à l’essor des piscines privées.
Cela mène à nous interroger sur l’importance du site et des ressources directes qu’il a à offrir. Pour des raisons économiques à l’époque et des conséquences écologiques aujourd’hui, l’étude des loisirs de la Vesdre questionne la localisation des infrastructures publiques afin de profiter de ces avantages.
La loge est une pièce ou une portion dépendante d’un édifice s’ouvrant largement sur le dehors, sans vitrines ou fermetures à demeure. Nous nous appuyons sur la loge pour lire les espaces enclos et ouverts sur la Vesdre. Ces cours et terrasses adressés à l’eau ont subi dramatiquement les inondations de l’été. Assumer les loges de la Vesdre pourraient se muer en espaces médiateurs ouvrant des rapports vertueux à la rivière..
Le projet consiste à implanter ces “loges” le long de la Vesdre à Dolhain. Le village développe en effet un long ‘front de rivière’ scandé par une suite de proto-loges à intensifier. En s’appuyant sur une analyse des dispositifs d’interaction mise en place à Gênes, l’étude des loges de Dolhain consiste à scander la rive de ces nouvelles plateformes ouvertes sur la rivière et apte à produire une intensité villageoise plus accueillante aux charmes et caprices de l’eau.
Loges
Gaston Demoulin, Yaé Faye
CUMA
Notre recherche du premier semestre tente de mettre en relation les lieux de loisirs liés à l’eau et leur position géographique dans la vallée de la Vesdre. Étangs, bassins, réservoirs, piscines, s’implantaient sur des positions stratégiques pour profiter des avantages topographiques et d’accès à l’eau naturelle. Cependant, l’eau devient accessible à tous et les exigences sanitaires s’accentuent. Malgré leur caractère social, les piscines publiques perdent de leur importance, tandis que la démocratisation de l’eau conduit à l’essor des piscines privées.
Cela mène à nous interroger sur l’importance du site et des ressources directes qu’il a à offrir. Pour des raisons économiques à l’époque et des conséquences écologiques aujourd’hui, l’étude des loisirs de la Vesdre questionne la localisation des infrastructures publiques afin de profiter de ces avantages.
La loge est une pièce ou une portion dépendante d’un édifice s’ouvrant largement sur le dehors, sans vitrines ou fermetures à demeure. Nous nous appuyons sur la loge pour lire les espaces enclos et ouverts sur la Vesdre. Ces cours et terrasses adressés à l’eau ont subi dramatiquement les inondations de l’été. Assumer les loges de la Vesdre pourraient se muer en espaces médiateurs ouvrant des rapports vertueux à la rivière..
Le projet consiste à implanter ces “loges” le long de la Vesdre à Dolhain. Le village développe en effet un long ‘front de rivière’ scandé par une suite de proto-loges à intensifier. En s’appuyant sur une analyse des dispositifs d’interaction mise en place à Gênes, l’étude des loges de Dolhain consiste à scander la rive de ces nouvelles plateformes ouvertes sur la rivière et apte à produire une intensité villageoise plus accueillante aux charmes et caprices de l’eau.