Architecture musicale algorithmique
Christophe Demiralp
Digital Fabrication Studio
La relation musique-architecture ainsi que son histoire est riche et complexe. Pour cadrer ce travail, uniquement la partie compositionnelle des deux arts sera étudiée. Le but sera donc de rechercher des relations qui pourront éventuellement alimenter la créativité, les recherches de formes des architectes. La musique sera reprise alors comme source d’inspiration dans la création d’une architecture.
L’intention du projet est de créer un langage de retranscription en passant par les mathématiques, l’algorithme et le langage coding (Python). Cela va permettre de reprendre la structure et l’harmonie d’une musique pour la recomposer dans l’espace en architecture, un véritable passage de l’immatériel (la musique) en matériel (architecture). Toutes les informations de la musique comme les fréquences, le temps, le rythme, la durée des notes, les mesures seront reprises par le code et utilisées dans différentes étapes de compositions de l’architecture. Tout d’abord, le rythme de la musique crée la trame architecturale. Plus le rythme est faible, plus on obtient une forme fluide et douce avec des courbes, plus il est important, plus l’architecture sera brutale, rapide avec des polylignes. (Comme dans la différence entre le blues (image 4) et le rock (image 5)). Les fréquences, le temps, les mesures et la durée de chaque note de la musique créent la largeur et la hauteur de la forme. Une fois le code réalisé, on obtient une infinité de propositions de forme selon différentes musiques importées. Il suffit maintenant de choisir celle qui correspondrait le plus au terrain sélectionné à l’entrée de l’université de VUB pour créer un pavillon musical avec une salle d’exposition et interpréter comme un architectes la forme obtenue.
Architecture musicale algorithmique
Christophe Demiralp
Digital Fabrication Studio
La relation musique-architecture ainsi que son histoire est riche et complexe. Pour cadrer ce travail, uniquement la partie compositionnelle des deux arts sera étudiée. Le but sera donc de rechercher des relations qui pourront éventuellement alimenter la créativité, les recherches de formes des architectes. La musique sera reprise alors comme source d’inspiration dans la création d’une architecture.
L’intention du projet est de créer un langage de retranscription en passant par les mathématiques, l’algorithme et le langage coding (Python). Cela va permettre de reprendre la structure et l’harmonie d’une musique pour la recomposer dans l’espace en architecture, un véritable passage de l’immatériel (la musique) en matériel (architecture). Toutes les informations de la musique comme les fréquences, le temps, le rythme, la durée des notes, les mesures seront reprises par le code et utilisées dans différentes étapes de compositions de l’architecture. Tout d’abord, le rythme de la musique crée la trame architecturale. Plus le rythme est faible, plus on obtient une forme fluide et douce avec des courbes, plus il est important, plus l’architecture sera brutale, rapide avec des polylignes. (Comme dans la différence entre le blues (image 4) et le rock (image 5)). Les fréquences, le temps, les mesures et la durée de chaque note de la musique créent la largeur et la hauteur de la forme. Une fois le code réalisé, on obtient une infinité de propositions de forme selon différentes musiques importées. Il suffit maintenant de choisir celle qui correspondrait le plus au terrain sélectionné à l’entrée de l’université de VUB pour créer un pavillon musical avec une salle d’exposition et interpréter comme un architectes la forme obtenue.