Limites infinies ?
Esra Erbas
Digital Fabrication Studio
Dans ce travail, je me suis concentrée sur la montées des eaux. Quand on pense à l’eau, on pense à l’architecture flottante et aux ponts bâtis.
Je propose une alternative entre les deux: une architecture spatiale et aussi modulable. Mon travail se fera en deux partie mais sur quatre échelles: S,M,L ET XL. S: une partie du travail s’intéressant sur les modules d’habitations, qui auront leur qualité́ architecturale, modulable et réfléchi sur Rhino et Grasshopper. M: s’intéressera à la structure qui l’accueillera, également réfléchi sur Rhino et Grasshopper. L: qui reprend la capsule habitable, la structure et son contexte, sur terre et eau. XL: s’intéressera à une vision plus urbaniste en se traduisant par une réécriture de l’histoire de l’architecture et presque utopiste. La partie S,M,L, sera une partie architecturale que je souhaitais bien distinguer de la partie XL qui est urbaniste.
Donc en quelque sorte la réinvention de l’histoire de la ville, et ce grâce à la superposition de la première partie de mon travail sur une échelle plus grande. La deuxième partie du travail sera purement réflective et surement utopiste. J’imagine le faire premièrement à travers une recherche sur les travaux de Yona Friedman. En utilisant une structure tridimensionnelle, expérimenter différentes cellules modulable selon leur fonctions. Et en développant des scenarios possibles. Donc on pourrait imaginer par exemple comme scénario que les constructions en hauteur permettront à la nature de reprendre ses droits à la terre, comme selon la vision de Gilles Clément, d’être perméable et donc boucler la boucle en résolvant la question des montées des eaux.
Mon travail aura pour cadre l’eau, un cadre qui sera bien utile pour ce genre de travail, pour éviter de s’égarer au fil des recherches à venir.
Limites infinies ?
Esra Erbas
Digital Fabrication Studio
Dans ce travail, je me suis concentrée sur la montées des eaux. Quand on pense à l’eau, on pense à l’architecture flottante et aux ponts bâtis.
Je propose une alternative entre les deux: une architecture spatiale et aussi modulable. Mon travail se fera en deux partie mais sur quatre échelles: S,M,L ET XL. S: une partie du travail s’intéressant sur les modules d’habitations, qui auront leur qualité́ architecturale, modulable et réfléchi sur Rhino et Grasshopper. M: s’intéressera à la structure qui l’accueillera, également réfléchi sur Rhino et Grasshopper. L: qui reprend la capsule habitable, la structure et son contexte, sur terre et eau. XL: s’intéressera à une vision plus urbaniste en se traduisant par une réécriture de l’histoire de l’architecture et presque utopiste. La partie S,M,L, sera une partie architecturale que je souhaitais bien distinguer de la partie XL qui est urbaniste.
Donc en quelque sorte la réinvention de l’histoire de la ville, et ce grâce à la superposition de la première partie de mon travail sur une échelle plus grande. La deuxième partie du travail sera purement réflective et surement utopiste. J’imagine le faire premièrement à travers une recherche sur les travaux de Yona Friedman. En utilisant une structure tridimensionnelle, expérimenter différentes cellules modulable selon leur fonctions. Et en développant des scenarios possibles. Donc on pourrait imaginer par exemple comme scénario que les constructions en hauteur permettront à la nature de reprendre ses droits à la terre, comme selon la vision de Gilles Clément, d’être perméable et donc boucler la boucle en résolvant la question des montées des eaux.
Mon travail aura pour cadre l’eau, un cadre qui sera bien utile pour ce genre de travail, pour éviter de s’égarer au fil des recherches à venir.