Campus urbain
Caroline Boxus
Logement Innovant
Implanter du logement dans le campus de l’ULB pour perméabiliser sa relation avec la ville. Il se restructure au départ d’axes urbains améliorant sa lecture, sa compréhension spatiale et programmatique et ainsi son appropriation. La ville rentre dans l’ilot universitaire et suivant sa place dans le terrain, le logement se développe à différents niveaux des bâtiments. Ainsi, le campus exploite ses potentialités, affirmant et intégrant l’université dans son contexte. La périphérie habitée ouvre un dialogue avec le quartier résidentiel intégrant une transition d’échelle. Des relations entre le bâti et son terrain s’ouvrent autour de cette structure urbaine.
Le projet expose un échantillon des situations suivant lesquelles le logement se développe. Les immeubles, reconvertis pour partie suivent une double mixité, de programmation et de rénovation soulignant la place de l’université et offrant des potentialités, des situations plus humaines dans ces infrastructures.
Au cœur du campus, le bâtiment est habité dans la prolongation des axes. Le logement s’articule autour d’une chambre partagée qui va chercher la rue, gagne en épaisseur et ouvre un dialogue avec l’axe central lui apportant une dimension habitée.
La périphérie Sud de l’ilot se perce, se perméabilise. En rénovant cette infrastructure, l’ancrage de l’université dans la ville est marqué en contrastant l’aspect hermétique de sa façade forte. Le logement se développe autour de la structure centrale, apportant de nouvelles ouvertures de sa profondeur.
Cadré par les axes urbains, le logement couronne l’aile centrale ouvrant un lien entre ce bâtiment fermé et sa rue. Le Logement habite cette façade continue rejetant la circulation au centre. Partagée, elle se tord permettant des appropriations et identifications.
Enfin, ayant perdu en visibilité, en recul par rapport à la rue, la domestication de la périphérie permet une transition d’échelle. Dans la logique du développement de l’immeuble, la circulation est habitée, ouvrant le logement sur la ville, animant ces façades fermées.
Le projet tend de cette façon à ouvrir l’ilot à son contexte urbain suivant les potentialités du campus.
Campus urbain
Caroline Boxus
Logement Innovant
Implanter du logement dans le campus de l’ULB pour perméabiliser sa relation avec la ville. Il se restructure au départ d’axes urbains améliorant sa lecture, sa compréhension spatiale et programmatique et ainsi son appropriation. La ville rentre dans l’ilot universitaire et suivant sa place dans le terrain, le logement se développe à différents niveaux des bâtiments. Ainsi, le campus exploite ses potentialités, affirmant et intégrant l’université dans son contexte. La périphérie habitée ouvre un dialogue avec le quartier résidentiel intégrant une transition d’échelle. Des relations entre le bâti et son terrain s’ouvrent autour de cette structure urbaine.
Le projet expose un échantillon des situations suivant lesquelles le logement se développe. Les immeubles, reconvertis pour partie suivent une double mixité, de programmation et de rénovation soulignant la place de l’université et offrant des potentialités, des situations plus humaines dans ces infrastructures.
Au cœur du campus, le bâtiment est habité dans la prolongation des axes. Le logement s’articule autour d’une chambre partagée qui va chercher la rue, gagne en épaisseur et ouvre un dialogue avec l’axe central lui apportant une dimension habitée.
La périphérie Sud de l’ilot se perce, se perméabilise. En rénovant cette infrastructure, l’ancrage de l’université dans la ville est marqué en contrastant l’aspect hermétique de sa façade forte. Le logement se développe autour de la structure centrale, apportant de nouvelles ouvertures de sa profondeur.
Cadré par les axes urbains, le logement couronne l’aile centrale ouvrant un lien entre ce bâtiment fermé et sa rue. Le Logement habite cette façade continue rejetant la circulation au centre. Partagée, elle se tord permettant des appropriations et identifications.
Enfin, ayant perdu en visibilité, en recul par rapport à la rue, la domestication de la périphérie permet une transition d’échelle. Dans la logique du développement de l’immeuble, la circulation est habitée, ouvrant le logement sur la ville, animant ces façades fermées.
Le projet tend de cette façon à ouvrir l’ilot à son contexte urbain suivant les potentialités du campus.