La Place Saint-Job, sous les pavés la vallée
Marlène Rougier
MAP1 (Q7)
La création d’une centralité : composer l’espace en y associant les façades commerçantes et l’église. L’unité par la matérialité, associer les matériaux existants, utiliser les pavés de porphyre avec des inclinaisons différentes. L’eau, l’élément d’ambiance prioritaire ; des jardins de vallées ; les flux guidés par le relief pour irriguer les jardins de vallées ; une matérialité, un deuxième matériau d’unité ; réhydrater les consciences par la symbolique de l’eau ; la pierre bleue ; enlever les pavés et s’ancrer plus bas à l’ambiance par la rencontre ; associer l’existant et les signes de la vallée ; temporaliser avec l’existant ; conserver les couronnes de certains platanes, les associer par la pierre bleue ; des traversées piétonnes pour conserver des accès à la place ; l’association de la place vers les façades ; des ouvertures marquées par différentes strates accentuées ; une palette végétale adaptée aux conditions des jardins ; une ambiance humide lors de forte pluie vers une adaptation lors de forte sécheresse ; profiter de la spontanéité de la végétation pour temporaliser les jardins de vallées ; des marches en pierre bleue invitant l’usager ; des jeux de formes dans ces vallées, guidés par le flux d’eau ; une forme, une surface, le parcours du Geleytsbeek, visible ou invisible, large ou étroit ; redonner place à l’église, un parvis ouvert, rattacher le patrimoine à l’unité de la place ; une mobilité modifiée, temporaliser la vitesse des usagers ; revaloriser la fonction d’accueil vers un rôle unitaire de la place ; redonner place aux événements ; une ambiance hebdomadaire par l’extension d’un marché ; une ambiance ponctuelle, la kermesse, la foire, une zone ouverte à proximité de l’église.
La Place Saint-Job, sous les pavés la vallée
Marlène Rougier
MAP1 (Q7)
La création d’une centralité : composer l’espace en y associant les façades commerçantes et l’église. L’unité par la matérialité, associer les matériaux existants, utiliser les pavés de porphyre avec des inclinaisons différentes. L’eau, l’élément d’ambiance prioritaire ; des jardins de vallées ; les flux guidés par le relief pour irriguer les jardins de vallées ; une matérialité, un deuxième matériau d’unité ; réhydrater les consciences par la symbolique de l’eau ; la pierre bleue ; enlever les pavés et s’ancrer plus bas à l’ambiance par la rencontre ; associer l’existant et les signes de la vallée ; temporaliser avec l’existant ; conserver les couronnes de certains platanes, les associer par la pierre bleue ; des traversées piétonnes pour conserver des accès à la place ; l’association de la place vers les façades ; des ouvertures marquées par différentes strates accentuées ; une palette végétale adaptée aux conditions des jardins ; une ambiance humide lors de forte pluie vers une adaptation lors de forte sécheresse ; profiter de la spontanéité de la végétation pour temporaliser les jardins de vallées ; des marches en pierre bleue invitant l’usager ; des jeux de formes dans ces vallées, guidés par le flux d’eau ; une forme, une surface, le parcours du Geleytsbeek, visible ou invisible, large ou étroit ; redonner place à l’église, un parvis ouvert, rattacher le patrimoine à l’unité de la place ; une mobilité modifiée, temporaliser la vitesse des usagers ; revaloriser la fonction d’accueil vers un rôle unitaire de la place ; redonner place aux événements ; une ambiance hebdomadaire par l’extension d’un marché ; une ambiance ponctuelle, la kermesse, la foire, une zone ouverte à proximité de l’église.