Projet d'Architecture du Paysage - Master 2
Hugues Sirault (coord.), Thierry Kandjee, Ambre Anrys
L’atelier projet Q10 invite les étudiants à explorer les paysages nécessaires à concevoir, construire, gérer à l’horizon 2050. L’originalité de cet atelier final réside dans la liberté de choix du site et de la thématique de travail du PFE. L’exercice est individuel mais les thématiques communes identifiées ouvrent largement les portes des débats critiques qui animent l’atelier projet.
Cet atelier ponctue la formation, il doit permettre aux étudiants de mobiliser et d'appliquer de manière pertinente les acquis de leur cursus ; il est aussi l'occasion d’initier les étudiants à une démarche de recherche réflective et critique. En particulier la nécessité du paysage et de l’action du paysagiste doit être argumentée au regard des urgences auxquelles nos sociétés contemporaines sont et seront confrontées.
Les étudiants sont invités individuellement à choisir leur propre site d’étude et élaborer un état de l’art permettant d’énoncer une hypothèse originale. Ce travail permet d’identifier des questionnements collectifs qui font l’objet de séminaires de travail.
Cette année les étudiants ont interrogé les paysages infrastructurels en questionnant le devenir des infrastructures routières, les paysages habités qui questionnent les modes de co existence entre habitat humain et non humain et les paysages du risque associé à la gestion des inondations et/ou des sécheresses comme levier de projet de paysage
Le premier projet repris dans le Yearbook démontre la nécessité de concevoir la reconversion d’une autoroute bientôt obsolète à l’aune de la crise énergétique et des changements des pratiques modales que nous traversons. Le deuxième projet aborde lui l’enjeu de la raréfaction de l’eau dans un territoire rural en tension où l’usage de l’or bleu disputé nécessite un projet de paysage qui prône la frugalité dans l’usage de l’eau considéré comme bien commun.
Ce grand écart entre les thématiques est désiré, il témoigne du large spectre d’actions des architectes paysagistes qui seront mobilisées pour concevoir les paysages nécessaires de demain.
Projet d'Architecture du Paysage - Master 2
Hugues Sirault (coord.), Thierry Kandjee, Ambre Anrys
L’atelier projet Q10 invite les étudiants à explorer les paysages nécessaires à concevoir, construire, gérer à l’horizon 2050. L’originalité de cet atelier final réside dans la liberté de choix du site et de la thématique de travail du PFE. L’exercice est individuel mais les thématiques communes identifiées ouvrent largement les portes des débats critiques qui animent l’atelier projet.
Cet atelier ponctue la formation, il doit permettre aux étudiants de mobiliser et d'appliquer de manière pertinente les acquis de leur cursus ; il est aussi l'occasion d’initier les étudiants à une démarche de recherche réflective et critique. En particulier la nécessité du paysage et de l’action du paysagiste doit être argumentée au regard des urgences auxquelles nos sociétés contemporaines sont et seront confrontées.
Les étudiants sont invités individuellement à choisir leur propre site d’étude et élaborer un état de l’art permettant d’énoncer une hypothèse originale. Ce travail permet d’identifier des questionnements collectifs qui font l’objet de séminaires de travail.
Cette année les étudiants ont interrogé les paysages infrastructurels en questionnant le devenir des infrastructures routières, les paysages habités qui questionnent les modes de co existence entre habitat humain et non humain et les paysages du risque associé à la gestion des inondations et/ou des sécheresses comme levier de projet de paysage
Le premier projet repris dans le Yearbook démontre la nécessité de concevoir la reconversion d’une autoroute bientôt obsolète à l’aune de la crise énergétique et des changements des pratiques modales que nous traversons. Le deuxième projet aborde lui l’enjeu de la raréfaction de l’eau dans un territoire rural en tension où l’usage de l’or bleu disputé nécessite un projet de paysage qui prône la frugalité dans l’usage de l’eau considéré comme bien commun.
Ce grand écart entre les thématiques est désiré, il témoigne du large spectre d’actions des architectes paysagistes qui seront mobilisées pour concevoir les paysages nécessaires de demain.