De Molenhuis, réintégration d’un patrimoine Malinois devenu invisible
Edyna Hocq
MicroMegasLab
L’évolution de la ville de Malines est indissociablement liée à la présence d’une voie fluviale, la Dyle et ses vlieten (ruisseaux), autour desquels s’est cristallisé l’espace urbain depuis le Moyen-Age. Le site du Molenhuis existe depuis le Xe siècle et est implanté stratégiquement à la jonction de la Dyle et d’une écluse, laquelle servant à contrer les éventuelles inondations.
Cependant, aujourd’hui, à cet endroit précis de la ville, l’augmentation de la densité et de la diversité des infrastructures urbanistiques comme le flux automobile, le commerce Proximus est telle,…que la localité ne parvient plus à communiquer avec son existant. Le patrimoine en devient invisible. Dès lors, il existe une tension entre l’urbanité et la localité à Malines.
C’est pourquoi, le parcours muséal tente de résoudre ce type d’hétérogénéité causée par la mondialisation. Le projet veillera à rester dans une continuité de la sauvegarde du patrimoine hydraulique cher à Malines, un prétexte pour repenser l’accès à l’eau, la nouvelle vision politique Malinoise.
La traversée muséale, est un projet avant tout ponctuel, montrant que « la micro architecture » peut changer la perception d’un lieu. Aussi, le respect du « loci génie » et de la trace historique furent questionnés : « Comment continuer l’histoire de la ville avec l’héritage de tracé, de forme et de fonction ? » A. Chemetoff
Par la recherche en dessin, deux univers de parcours ont été dégagés: Le premier, celui au fil de l’eau apporte une continuité au projet paysagiste d’Omgeving, commençant de l’université et traversant la ruine jusqu’au parc Kruidtuin. Le second, le parcours de contemplation se reconnecte au contexte existant depuis la voie pavée, permettant de tourner autour de la relique du moulin. Enfin, les deux parcours forment une boucle complète, possédant plusieurs points d’arrêts, de sorties ; apportant une grande richesse au dispositif.
De Molenhuis, réintégration d’un patrimoine Malinois devenu invisible
Edyna Hocq
MicroMegasLab
L’évolution de la ville de Malines est indissociablement liée à la présence d’une voie fluviale, la Dyle et ses vlieten (ruisseaux), autour desquels s’est cristallisé l’espace urbain depuis le Moyen-Age. Le site du Molenhuis existe depuis le Xe siècle et est implanté stratégiquement à la jonction de la Dyle et d’une écluse, laquelle servant à contrer les éventuelles inondations.
Cependant, aujourd’hui, à cet endroit précis de la ville, l’augmentation de la densité et de la diversité des infrastructures urbanistiques comme le flux automobile, le commerce Proximus est telle,…que la localité ne parvient plus à communiquer avec son existant. Le patrimoine en devient invisible. Dès lors, il existe une tension entre l’urbanité et la localité à Malines.
C’est pourquoi, le parcours muséal tente de résoudre ce type d’hétérogénéité causée par la mondialisation. Le projet veillera à rester dans une continuité de la sauvegarde du patrimoine hydraulique cher à Malines, un prétexte pour repenser l’accès à l’eau, la nouvelle vision politique Malinoise.
La traversée muséale, est un projet avant tout ponctuel, montrant que « la micro architecture » peut changer la perception d’un lieu. Aussi, le respect du « loci génie » et de la trace historique furent questionnés : « Comment continuer l’histoire de la ville avec l’héritage de tracé, de forme et de fonction ? » A. Chemetoff
Par la recherche en dessin, deux univers de parcours ont été dégagés: Le premier, celui au fil de l’eau apporte une continuité au projet paysagiste d’Omgeving, commençant de l’université et traversant la ruine jusqu’au parc Kruidtuin. Le second, le parcours de contemplation se reconnecte au contexte existant depuis la voie pavée, permettant de tourner autour de la relique du moulin. Enfin, les deux parcours forment une boucle complète, possédant plusieurs points d’arrêts, de sorties ; apportant une grande richesse au dispositif.