Frieder Nake, Aschenparalleler polygonzug N° 13 & 14 (1965)
Interprétation par modèle procédural
Spyridon Kallergis & Camille Salignon
Question d'Architecture, Informatique et Multimédia
Ce projet a été réalisé dans le cadre du cours « Analyse formelle et processus informatique » (enseignants: Denis Derycke (coord.), Michel Lefèvre, Julien Rippinger). Le travail proposé aux étudiants consiste à explorer un système de composition autonome en se basant sur l’analyse d’une œuvre d’art. Les étudiants transcrivent leur interprétation de l’œuvre choisie dans le langage de programmation Python, et génèrent des configurations spatiales paramétriques pour investir l’espace d’un cube de 10 cm de côté. Ces processus analytiques et génératifs s’opèrent exclusivement dans un espace graphique axonométrique et utilisent l’impression 3D par extrusion de plastique.
Les différents paramètres des œuvres Aschenparalleler polygonzug N° 13 & 14 qui ont été décelés sont les suivants : la méthodologie de composition reste identique pour les deux œuvres, le tracé est déterminé par une seule et même ligne possédant un point de départ et un point d’arrivée, l’artiste joue sur des systèmes de superposition et de colorimétrie afin de faire ressentir à l’observateur une impression de profondeur sur une œuvre bidimensionnelle. Les paramètres de composition de l’œuvre dans les axes X et Y ont été mis en évidence en isolant le trajet exact de chaque tracé. Enfin, un système de répétitions par boucles accentue l’impression de profondeur. Les différents tracés qui composent ces boucles s’entremêlent mais ne se superposent pas.
Le travail génératif et interprétatif s’appuie d’abord en sur les paramètres qui composent Aschenparalleler Polygonzug n°13 pour concevoir le code qui répond aux principes fondamentaux des deux œuvres, Aschenparalleler Polygonzug n°14 étant une évolution de la n°13. Le projet a pour premier précepte d’appliquer, sur deux faces du cube, deux tracés générés aléatoirement par le code, et d’ensuite les faire concorder en respectant la logique de composition contenue dans l’œuvre initiale. Ensuite, les différents points qui déterminent les changements d’orientation de chacun des deux tracés se correspondent entre eux et permettent de créer des liaisons générant des volumétries intéressantes. L’enjeu a également été de joindre les deux composition se faisant face sans générer de plans « négatifs » qui auraient été impossible à matérialiser.
Frieder Nake, Aschenparalleler polygonzug N° 13 & 14 (1965)
Interprétation par modèle procédural
Spyridon Kallergis & Camille Salignon
Question d'Architecture, Informatique et Multimédia
Ce projet a été réalisé dans le cadre du cours « Analyse formelle et processus informatique » (enseignants: Denis Derycke (coord.), Michel Lefèvre, Julien Rippinger). Le travail proposé aux étudiants consiste à explorer un système de composition autonome en se basant sur l’analyse d’une œuvre d’art. Les étudiants transcrivent leur interprétation de l’œuvre choisie dans le langage de programmation Python, et génèrent des configurations spatiales paramétriques pour investir l’espace d’un cube de 10 cm de côté. Ces processus analytiques et génératifs s’opèrent exclusivement dans un espace graphique axonométrique et utilisent l’impression 3D par extrusion de plastique.
Les différents paramètres des œuvres Aschenparalleler polygonzug N° 13 & 14 qui ont été décelés sont les suivants : la méthodologie de composition reste identique pour les deux œuvres, le tracé est déterminé par une seule et même ligne possédant un point de départ et un point d’arrivée, l’artiste joue sur des systèmes de superposition et de colorimétrie afin de faire ressentir à l’observateur une impression de profondeur sur une œuvre bidimensionnelle. Les paramètres de composition de l’œuvre dans les axes X et Y ont été mis en évidence en isolant le trajet exact de chaque tracé. Enfin, un système de répétitions par boucles accentue l’impression de profondeur. Les différents tracés qui composent ces boucles s’entremêlent mais ne se superposent pas.
Le travail génératif et interprétatif s’appuie d’abord en sur les paramètres qui composent Aschenparalleler Polygonzug n°13 pour concevoir le code qui répond aux principes fondamentaux des deux œuvres, Aschenparalleler Polygonzug n°14 étant une évolution de la n°13. Le projet a pour premier précepte d’appliquer, sur deux faces du cube, deux tracés générés aléatoirement par le code, et d’ensuite les faire concorder en respectant la logique de composition contenue dans l’œuvre initiale. Ensuite, les différents points qui déterminent les changements d’orientation de chacun des deux tracés se correspondent entre eux et permettent de créer des liaisons générant des volumétries intéressantes. L’enjeu a également été de joindre les deux composition se faisant face sans générer de plans « négatifs » qui auraient été impossible à matérialiser.