Nouveau Monde
Yasmina Akerrai, Wiam Benjelloun
PC
Nous nous situons à l’ouest de deux continents : Le continent Africain dans la zone du Sahara Occidental et le continent Américain dans la ville de Butte dans l’état du Montana aux États-Unis. Un monument de division émerge, un mur de défense. Ce rempart physique transcende sa fonction apparente, découpant le territoire en deux, devenu ainsi une division physique et psychologique. Le territoire subit alors une altération dans sa structure physique incitant à de nouveaux comportements. Le puits, résultat d’une transformation induite par l’activité humaine, propage silencieusement des eaux contaminées, privant l’eau de son rôle essentiel. Ainsi, le territoire subit une altération dans sa façon d’être vécu incitant à de nouveaux comportements.
Suite à ces deux situations territoriales à grande échelle qui illustrent la manière dont les humains interagissent entre eux sur un territoire et l’exploitent, il était intéressant d’aborder le territoire par couches, en isolant les informations. La technique des calques superposés permet de recueillir des données spécifiques, interprétées dans un ordre d’observation précis. En explorant successivement ces couches, diverses images et compréhensions émergent, mettant en lumière différentes relations de cause à effet et révélant des aspects sous-jacents de domination.
L’espace nomade se déploie entre des lieux éloignés, séparés par de vastes vides, chacun régi par le calendrier plutôt que par des frontières. Chaque lieu rassemble une diversité humaine, sociale et économique, reflétant l’ensemble de son environnement. L’étendue, perçue comme un vide est cruciale, valorisée pour ses rôles dans la guerre et la circulation, et libérée de contraintes. Le nomadisme, qu’il soit lié ou non à l’errance, implique des déplacements organisés qui modèlent constamment le corps politique et territorial.
Par la suite, afin d’étudier ces nouveaux comportements influencés par ces territoires modifiés, il a semblé pertinent de recourir à la cartographie. Dans celle-ci, interviendront des éléments tels que les caractéristiques naturelles, les repères humains, les événements et les déplacements. L’espace nomade se matérialisera sous plusieurs formes : le tracé intuitif, le tracé millimétré et la représentation imagée.
Nouveau Monde
Yasmina Akerrai, Wiam Benjelloun
PC
Nous nous situons à l’ouest de deux continents : Le continent Africain dans la zone du Sahara Occidental et le continent Américain dans la ville de Butte dans l’état du Montana aux États-Unis. Un monument de division émerge, un mur de défense. Ce rempart physique transcende sa fonction apparente, découpant le territoire en deux, devenu ainsi une division physique et psychologique. Le territoire subit alors une altération dans sa structure physique incitant à de nouveaux comportements. Le puits, résultat d’une transformation induite par l’activité humaine, propage silencieusement des eaux contaminées, privant l’eau de son rôle essentiel. Ainsi, le territoire subit une altération dans sa façon d’être vécu incitant à de nouveaux comportements.
Suite à ces deux situations territoriales à grande échelle qui illustrent la manière dont les humains interagissent entre eux sur un territoire et l’exploitent, il était intéressant d’aborder le territoire par couches, en isolant les informations. La technique des calques superposés permet de recueillir des données spécifiques, interprétées dans un ordre d’observation précis. En explorant successivement ces couches, diverses images et compréhensions émergent, mettant en lumière différentes relations de cause à effet et révélant des aspects sous-jacents de domination.
L’espace nomade se déploie entre des lieux éloignés, séparés par de vastes vides, chacun régi par le calendrier plutôt que par des frontières. Chaque lieu rassemble une diversité humaine, sociale et économique, reflétant l’ensemble de son environnement. L’étendue, perçue comme un vide est cruciale, valorisée pour ses rôles dans la guerre et la circulation, et libérée de contraintes. Le nomadisme, qu’il soit lié ou non à l’errance, implique des déplacements organisés qui modèlent constamment le corps politique et territorial.
Par la suite, afin d’étudier ces nouveaux comportements influencés par ces territoires modifiés, il a semblé pertinent de recourir à la cartographie. Dans celle-ci, interviendront des éléments tels que les caractéristiques naturelles, les repères humains, les événements et les déplacements. L’espace nomade se matérialisera sous plusieurs formes : le tracé intuitif, le tracé millimétré et la représentation imagée.