Clelia Barberá Ramallo
Pratiques critiques
Le projet propose une exploration critique de l’acte de création en architecture à travers le prisme de l’image mentale comme outil conceptuel d’exploration. La première partie du projet est une exploration de mes propres images mentales et fantaisies spatiales à travers une série d’aquarelles, sans contexte physique. Dans le but de les questionner et d’en extraire un sens, l’essence architecturale des dessins est extraite dans la forme de vues abstraites en plan et en axonométrie. Ce matériel fragmenté crée un alphabet architectural qui parle du seuil et des transitions spatiales.
Afin d’avancer dans la réflexion, ce cadre de travail est confronté à un site abandonné à Bruxelles. La halle désaffectée se trouve le long de la voie ferrée qui connecte la Gare de Schaerbeek à la Gare du Nord, dans un lieu de transition entre les zones résidentielles et industrielles du quartier Nord de Bruxelles. Le site se caractérise par la vue panoramique sur la vallée de la Seine et le paysage industriel de la ville, ainsi que par le manque d’espaces verts.
Après avoir exploré l’acte de création à travers de multiples fragments, j’ai exploré le geste unificateur qui apporterait de la cohérence aux fragments initiaux. Le patio circulaire se superpose aux bâtiments existants et crée des espaces de transition ainsi que des seuils ambigus qui avaient déjà été explorés initialement dans les aquarelles et dans les axonométries. Ce geste unifie les différents fragments et potentialise leur existence. L’architecture qui en résulte est habitée par un centre communautaire avec une librairie, des espaces polyvalents, et un patio central.
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Clelia Barberá Ramallo
Pratiques critiques
Le projet propose une exploration critique de l’acte de création en architecture à travers le prisme de l’image mentale comme outil conceptuel d’exploration. La première partie du projet est une exploration de mes propres images mentales et fantaisies spatiales à travers une série d’aquarelles, sans contexte physique. Dans le but de les questionner et d’en extraire un sens, l’essence architecturale des dessins est extraite dans la forme de vues abstraites en plan et en axonométrie. Ce matériel fragmenté crée un alphabet architectural qui parle du seuil et des transitions spatiales.
Afin d’avancer dans la réflexion, ce cadre de travail est confronté à un site abandonné à Bruxelles. La halle désaffectée se trouve le long de la voie ferrée qui connecte la Gare de Schaerbeek à la Gare du Nord, dans un lieu de transition entre les zones résidentielles et industrielles du quartier Nord de Bruxelles. Le site se caractérise par la vue panoramique sur la vallée de la Seine et le paysage industriel de la ville, ainsi que par le manque d’espaces verts.
Après avoir exploré l’acte de création à travers de multiples fragments, j’ai exploré le geste unificateur qui apporterait de la cohérence aux fragments initiaux. Le patio circulaire se superpose aux bâtiments existants et crée des espaces de transition ainsi que des seuils ambigus qui avaient déjà été explorés initialement dans les aquarelles et dans les axonométries. Ce geste unifie les différents fragments et potentialise leur existence. L’architecture qui en résulte est habitée par un centre communautaire avec une librairie, des espaces polyvalents, et un patio central.
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