Enragées
Aude Cliquennois
Question d'Architecture et Cinéma
Le cours de l’option architecture et cinéma a mis en tension deux notions : la traversée (lente) urbaine et la performance. Des gestes du quotidien, observés, cadrés, réitérés deviennent performatifs. Des fragments de vie quotidienne qui, observés, conscientisés transforment la rue, la place, les parcs urbains en tout autant de scènes de la vie quotidienne. Une marche performative, une occurrence au tournant de la rue, la performance suscite l’imaginaire et aiguise le regard. Les sons deviennent musique. La dimension performative d’une traversée de ville provoque le réel à s’identifier et stimule de l’imaginaire. Ces observations situées ont été cartographiées, interprétées, associées, progressivement et ont donné naissance à onze films dont quatre sont présentés à l'exposition virtuelle.
Le regard d’une femme, sur les murs qui entourent les rues, qui construisent la ville et finalement la société. Une volonté de donner de la visibilité à celleux qui veulent s’exprimer et qui le font de manière plus ou moins reconnue. Un mélange d’émotions, entre découragement et rage, mais surtout un cri, fort et puissant, pour celles qui ne peuvent plus continuer la lutte.
Le Steenweg est présent dans le film par l’observation des noms de rues que l’on peut y voir et qui ont lancé le questionnement sur la place des femmes dans le milieu urbain. Toutes les images filmées sont tournées également sur cette traversée, ainsi que les témoignages recueillis et les performances.
Enragées
Aude Cliquennois
Question d'Architecture et Cinéma
Le cours de l’option architecture et cinéma a mis en tension deux notions : la traversée (lente) urbaine et la performance. Des gestes du quotidien, observés, cadrés, réitérés deviennent performatifs. Des fragments de vie quotidienne qui, observés, conscientisés transforment la rue, la place, les parcs urbains en tout autant de scènes de la vie quotidienne. Une marche performative, une occurrence au tournant de la rue, la performance suscite l’imaginaire et aiguise le regard. Les sons deviennent musique. La dimension performative d’une traversée de ville provoque le réel à s’identifier et stimule de l’imaginaire. Ces observations situées ont été cartographiées, interprétées, associées, progressivement et ont donné naissance à onze films dont quatre sont présentés à l'exposition virtuelle.
Le regard d’une femme, sur les murs qui entourent les rues, qui construisent la ville et finalement la société. Une volonté de donner de la visibilité à celleux qui veulent s’exprimer et qui le font de manière plus ou moins reconnue. Un mélange d’émotions, entre découragement et rage, mais surtout un cri, fort et puissant, pour celles qui ne peuvent plus continuer la lutte.
Le Steenweg est présent dans le film par l’observation des noms de rues que l’on peut y voir et qui ont lancé le questionnement sur la place des femmes dans le milieu urbain. Toutes les images filmées sont tournées également sur cette traversée, ainsi que les témoignages recueillis et les performances.