Par le biais d’un dessin minimaliste image par image, cette vidéo raconte et exagère la routine d’un étudiant pendant cette pandémie. Un côté un peu « métro, boulot, dodo » vécu en un seul et même espace, la chambre.
L’accent est également mis sur la surinformation, le couvert angoissant et culpabilisant des médias sur le coronavirus comme unique réalité du monde, et la charge mentale que ça engendre.
La bande-son évoque un rythme répétitif, séquencé par quelques gestes insignifiants devenus un quotidien lourd et redondant.
La note de fin n’a pas pour but d’être moralisatrice, elle invite le spectateur à jeter un regard en arrière sur sa journée, et de se demander si lui aussi, a pensé à soi-même aujourd’hui.
Par le biais d’un dessin minimaliste image par image, cette vidéo raconte et exagère la routine d’un étudiant pendant cette pandémie. Un côté un peu « métro, boulot, dodo » vécu en un seul et même espace, la chambre.
L’accent est également mis sur la surinformation, le couvert angoissant et culpabilisant des médias sur le coronavirus comme unique réalité du monde, et la charge mentale que ça engendre.
La bande-son évoque un rythme répétitif, séquencé par quelques gestes insignifiants devenus un quotidien lourd et redondant.
La note de fin n’a pas pour but d’être moralisatrice, elle invite le spectateur à jeter un regard en arrière sur sa journée, et de se demander si lui aussi, a pensé à soi-même aujourd’hui.