Nous avons souhaité orienter notre travail sur la solitude engendrée, chez les jeunes, par le virus.
Cela fait un an que le Covid-19 a changé nos vies. Un an qu’il a bouleversé le quotidien des jeunes en les privant d’une perspective d’avenir. Ce dernier est effectivement devenu incertain pour les étudiants qui n’ont plus accès à la salle de classe et se retrouve livré à eux même, seul, derrière leur ordinateur. Privés de tout rapport social, les étudiants ont ce sentiment de solitude et d’abandon.
En effet, on nous dit souvent, à nous étudiants, que c’est à l’université que nous vivons nos plus belles années, des années propices aux rencontres, à la fête, et à l'épanouissement personnel. Aujourd’hui, il est bien plus difficile de profiter de tout cela. Privés de ces notions, la colère, la frustration et l’injustice se font ressentir chez les plus jeunes avec cette impression d’années “volées”.
Nous avons illustré cette précarité et cette solitude par le seul lien qui nous unissait : le virtuel. Une nouvelle façon de garder contact avec nos proches et nos amis, la seule qui nous permette de ne pas nous sentir seuls. Néanmoins, cela ne dure qu’un temps, une fois l’ordinateur fermé, notre vie sociale s’arrête, nous nous retrouvons face à notre solitude et à notre quotidien. Une vie qui semble s’être mise en pause pour des étudiants dépourvus de motivation, une vie qui n’est plus que virtuelle.
Nous avons souhaité orienter notre travail sur la solitude engendrée, chez les jeunes, par le virus.
Cela fait un an que le Covid-19 a changé nos vies. Un an qu’il a bouleversé le quotidien des jeunes en les privant d’une perspective d’avenir. Ce dernier est effectivement devenu incertain pour les étudiants qui n’ont plus accès à la salle de classe et se retrouve livré à eux même, seul, derrière leur ordinateur. Privés de tout rapport social, les étudiants ont ce sentiment de solitude et d’abandon.
En effet, on nous dit souvent, à nous étudiants, que c’est à l’université que nous vivons nos plus belles années, des années propices aux rencontres, à la fête, et à l'épanouissement personnel. Aujourd’hui, il est bien plus difficile de profiter de tout cela. Privés de ces notions, la colère, la frustration et l’injustice se font ressentir chez les plus jeunes avec cette impression d’années “volées”.
Nous avons illustré cette précarité et cette solitude par le seul lien qui nous unissait : le virtuel. Une nouvelle façon de garder contact avec nos proches et nos amis, la seule qui nous permette de ne pas nous sentir seuls. Néanmoins, cela ne dure qu’un temps, une fois l’ordinateur fermé, notre vie sociale s’arrête, nous nous retrouvons face à notre solitude et à notre quotidien. Une vie qui semble s’être mise en pause pour des étudiants dépourvus de motivation, une vie qui n’est plus que virtuelle.