Ionela Stefan et Vincent Mekarni (représentants)
Terrains d'architecture
L’atelier Terrains d'architecture s'est penché sur deux territoires du Nord Maroc dans le cadre d’une collaboration avec l’Ecole Nationale d’Architecture de Tétouan (ENAT) et les agences urbaines de Larache-Ouezzane et Tétouan. Il s'agit d'un travail d'exploration, de description, destiné à apporter une nouvelle connaissance de ces deux territoires pour les agences urbaines qui doivent penser leur transformation. Développés en ateliers parallèles, les études de la ville linéaire de Tétouan et le village Jbala de Kâlaa Beni Routen ont permis de proposer des méthodes d'anayse complémentaires et de porter l'atelier dans un apprentissage croisé de ces deux contextes.
Les matériaux urbains du Grand Tétouan
(Ionela Stefan, Ronny Campos Pereira)
L’analyse de la ville linéaire du Grand Tétouan s’est basé sur une approche analytique de la notion de matériaux urbains. Le territoire a été divisé en douze zones d’études, et par la suite nous avons établi un vocabulaire commun des différents matériaux urbains composant ces zones, en fonction du niveau de lecture défini. La zone de Cabo Negro présente des caractéristiques configurationnelles particulières, car elle est  caractérisée par des enclaves, ainsi que de deux autres matériaux. Des analyses topographiques et descriptives relatives aux types d’opérations ont précédé la création d’une grille d’analyse. Cette grille est une classification par niveau et une décomposition des matériaux urbains, elle décompose chaque matériau pour pouvoir ainsi comparer leurs caractéristiques morphologiques.
Les niveaux logiques figuratifs de Kâlaa Beni Routen
(Yohan Bergeron, Joséphine Challend de Cevins, Ahd Khalifa (dite Kali), Marie Delinte, Vincent Mekarni, Mariane Yumi Riat, Abderraouf Chetioui)
L'analyse formelle du village fonctionne par niveaux logiques de figures. Précédée par un travail de relevé et de retranscription, elle propose 8 niveaux de configurations allant du corps élémentaire en tant qu'unité la plus indivisible jusqu'à la configuration du village entier. Inscrite dans la théorie des ensembles de Wittgenstein et dans la théorie des genres (generati) d'Alberti, cette analyse des figures considère ce village comme une oeuvre collective d'architecture et ne sépare pas ce qui relève de la paroi (Niveaux 1 à 3) de ce qui relève de la parcelle (Niveaux 4 à 8).
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Ionela Stefan et Vincent Mekarni (représentants)
Terrains d'architecture
L’atelier Terrains d'architecture s'est penché sur deux territoires du Nord Maroc dans le cadre d’une collaboration avec l’Ecole Nationale d’Architecture de Tétouan (ENAT) et les agences urbaines de Larache-Ouezzane et Tétouan. Il s'agit d'un travail d'exploration, de description, destiné à apporter une nouvelle connaissance de ces deux territoires pour les agences urbaines qui doivent penser leur transformation. Développés en ateliers parallèles, les études de la ville linéaire de Tétouan et le village Jbala de Kâlaa Beni Routen ont permis de proposer des méthodes d'anayse complémentaires et de porter l'atelier dans un apprentissage croisé de ces deux contextes.
Les matériaux urbains du Grand Tétouan
(Ionela Stefan, Ronny Campos Pereira)
L’analyse de la ville linéaire du Grand Tétouan s’est basé sur une approche analytique de la notion de matériaux urbains. Le territoire a été divisé en douze zones d’études, et par la suite nous avons établi un vocabulaire commun des différents matériaux urbains composant ces zones, en fonction du niveau de lecture défini. La zone de Cabo Negro présente des caractéristiques configurationnelles particulières, car elle est  caractérisée par des enclaves, ainsi que de deux autres matériaux. Des analyses topographiques et descriptives relatives aux types d’opérations ont précédé la création d’une grille d’analyse. Cette grille est une classification par niveau et une décomposition des matériaux urbains, elle décompose chaque matériau pour pouvoir ainsi comparer leurs caractéristiques morphologiques.
Les niveaux logiques figuratifs de Kâlaa Beni Routen
(Yohan Bergeron, Joséphine Challend de Cevins, Ahd Khalifa (dite Kali), Marie Delinte, Vincent Mekarni, Mariane Yumi Riat, Abderraouf Chetioui)
L'analyse formelle du village fonctionne par niveaux logiques de figures. Précédée par un travail de relevé et de retranscription, elle propose 8 niveaux de configurations allant du corps élémentaire en tant qu'unité la plus indivisible jusqu'à la configuration du village entier. Inscrite dans la théorie des ensembles de Wittgenstein et dans la théorie des genres (generati) d'Alberti, cette analyse des figures considère ce village comme une oeuvre collective d'architecture et ne sépare pas ce qui relève de la paroi (Niveaux 1 à 3) de ce qui relève de la parcelle (Niveaux 4 à 8).
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