Dans les années 1960-1970 en Italie, un contexte socio-politique en pleine mutation et des avancées technologiques bouleversent l’architecture. Le mouvement radical émerge en réaction au modernisme, rejetant ses codes rigides. Inspirés par la culture « pop », les architectes radicaux stimulent un foisonnement d’idées nouvelles. Face à un monde en transformation rapide, ils utilisent des dispositifs comme outils de contestation, de subversion et de critique de la société, par le biais d’une approche ludique et expérimentale.
Le terme « Design radical » dérive de « l’Architecture radicale », un concept formulé par le critique d’art Germano Celant. Bien que de courte durée, ce mouvement marque profondément l’architecture avant de s’éteindre dans les années 1970, laissant des idées en suspens.
Aujourd'hui, des pratiques comme Piovenefabi, Jean-Benoît Vétillard, Point Supreme, Fala Atelier et Salottobuono ravivent cet héritage, en ayant recours à des dispositifs architecturaux similaires. Une analyse approfondie de ces dispositifs offre un éclairage pertinent sur les enjeux actuels. Selon Andrea Branzi, architecte et théoricien italien, l’architecture radicale a su provoquer une crise des certitudes modernistes sans produire un langage formel, mais plutôt un espace critique.
Ce mémoire explore le « retour » de ces idées à travers l’analyse des similarités et des différences entre les deux époques, en s’appuyant sur des thèmes récurrents : le collage, l’enseignement, le « happening », les expositions, les publications et les objets. Cela soulève des questions clés : pourquoi ce retour aux procédés du Design radical dans l’architecture contemporaine ? Quel est son héritage ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même combat face à un environnement en crise ?
En tissant ce fil de recherche à travers des conversations avec des chercheurs et des architectes, et en réunissant une riche collection d’images et de documents, cette étude propose une réflexion sur l’actualité des idées radicales dans le paysage architectural contemporain.
Dans les années 1960-1970 en Italie, un contexte socio-politique en pleine mutation et des avancées technologiques bouleversent l’architecture. Le mouvement radical émerge en réaction au modernisme, rejetant ses codes rigides. Inspirés par la culture « pop », les architectes radicaux stimulent un foisonnement d’idées nouvelles. Face à un monde en transformation rapide, ils utilisent des dispositifs comme outils de contestation, de subversion et de critique de la société, par le biais d’une approche ludique et expérimentale.
Le terme « Design radical » dérive de « l’Architecture radicale », un concept formulé par le critique d’art Germano Celant. Bien que de courte durée, ce mouvement marque profondément l’architecture avant de s’éteindre dans les années 1970, laissant des idées en suspens.
Aujourd'hui, des pratiques comme Piovenefabi, Jean-Benoît Vétillard, Point Supreme, Fala Atelier et Salottobuono ravivent cet héritage, en ayant recours à des dispositifs architecturaux similaires. Une analyse approfondie de ces dispositifs offre un éclairage pertinent sur les enjeux actuels. Selon Andrea Branzi, architecte et théoricien italien, l’architecture radicale a su provoquer une crise des certitudes modernistes sans produire un langage formel, mais plutôt un espace critique.
Ce mémoire explore le « retour » de ces idées à travers l’analyse des similarités et des différences entre les deux époques, en s’appuyant sur des thèmes récurrents : le collage, l’enseignement, le « happening », les expositions, les publications et les objets. Cela soulève des questions clés : pourquoi ce retour aux procédés du Design radical dans l’architecture contemporaine ? Quel est son héritage ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même combat face à un environnement en crise ?
En tissant ce fil de recherche à travers des conversations avec des chercheurs et des architectes, et en réunissant une riche collection d’images et de documents, cette étude propose une réflexion sur l’actualité des idées radicales dans le paysage architectural contemporain.