Blaise Jones, Jakub Niemynski, Tim Pierson
TRAME
Le projet « Vifquin » s’engage dans la réhabilitation d’un bâtiment communal à Schaerbeek, datant des années 60. La nécessité d’intégrer un nouveau programme dans le bâtiment existant, notamment des logements et des fonctions publiques, nous a amené à réfléchir sur la question de vivre en ville, de vivre en collectivité, de ce que cela signifie et de ce que cela pourrait signifier. Ainsi, nous cherchions à créer des logements et des espaces propices à la rencontre entre les habitants et invitant différentes activités et échanges à y avoir lieu. L’idée principale est donc de créer un mini-village vertical dans la ville, un lieu où l’on connait ces voisins et où se tissent des liens afin d’échapper à l’anonymité de la ville d’aujourd’hui.
Pour cela, une première intervention principale est la perméabilisation de l’îlot. La déconstruction de la cage d’escalier secondaire, la déconstruction de la passerelle reliant les blocs A et B et la reconstruction de la cage d’escalier principale permettent de réduire considérablement la densité du bâti ce qui en retour augmente la circulation au sein de l’îlot et l’apport en lumière naturelle. D’autre part, toute la circulation devient extérieure avec un noyau principal, démarqué en façade, qui dessert les logements ainsi que le fablab et le co-working qui occupent le rez-de-chaussée. Celui-ci est pensé comme un lieu de rencontre qui ensuite est prolongé par les coursives desservant les logements aux étages. Au dernier étage, on retrouve également un grand espace communautaire qui se prolonge sur la toiture, afin d’offrir aux habitants davantage un espace où ils peuvent se rencontrer, passer des repas ensemble ou faire la fête.
Concernant la mise en œuvre du projet, nous avions pris le parti de remettre à nu le bâtiment et de conserver la structure principale dotée de colonnes en béton armé apparentes en façade et de dalles gaufrées à l’intérieur. Cette structure rationnelle et les dalles gaufrées ont servi de guide lors de la conception des logements, permettant de créer différentes typologies principales qui se déclinent à travers le bâtiment en fonction de leur position et de mettre en valeur les qualités intrinsèques de l’existant.
Blaise Jones, Jakub Niemynski, Tim Pierson
TRAME
Le projet « Vifquin » s’engage dans la réhabilitation d’un bâtiment communal à Schaerbeek, datant des années 60. La nécessité d’intégrer un nouveau programme dans le bâtiment existant, notamment des logements et des fonctions publiques, nous a amené à réfléchir sur la question de vivre en ville, de vivre en collectivité, de ce que cela signifie et de ce que cela pourrait signifier. Ainsi, nous cherchions à créer des logements et des espaces propices à la rencontre entre les habitants et invitant différentes activités et échanges à y avoir lieu. L’idée principale est donc de créer un mini-village vertical dans la ville, un lieu où l’on connait ces voisins et où se tissent des liens afin d’échapper à l’anonymité de la ville d’aujourd’hui.
Pour cela, une première intervention principale est la perméabilisation de l’îlot. La déconstruction de la cage d’escalier secondaire, la déconstruction de la passerelle reliant les blocs A et B et la reconstruction de la cage d’escalier principale permettent de réduire considérablement la densité du bâti ce qui en retour augmente la circulation au sein de l’îlot et l’apport en lumière naturelle. D’autre part, toute la circulation devient extérieure avec un noyau principal, démarqué en façade, qui dessert les logements ainsi que le fablab et le co-working qui occupent le rez-de-chaussée. Celui-ci est pensé comme un lieu de rencontre qui ensuite est prolongé par les coursives desservant les logements aux étages. Au dernier étage, on retrouve également un grand espace communautaire qui se prolonge sur la toiture, afin d’offrir aux habitants davantage un espace où ils peuvent se rencontrer, passer des repas ensemble ou faire la fête.
Concernant la mise en œuvre du projet, nous avions pris le parti de remettre à nu le bâtiment et de conserver la structure principale dotée de colonnes en béton armé apparentes en façade et de dalles gaufrées à l’intérieur. Cette structure rationnelle et les dalles gaufrées ont servi de guide lors de la conception des logements, permettant de créer différentes typologies principales qui se déclinent à travers le bâtiment en fonction de leur position et de mettre en valeur les qualités intrinsèques de l’existant.